La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Gustave Courbet les Années suisses / Editions Artlys

Mardi, 16 Septembre, 2014 - 10:57

Gustave Courbet, tout à la fois, victime de la Commune et des Versaillais...

Publié, à l'occasion de l'exposition présentée au musée Rath / Musées d'art et d'histoire de Genève, sous la direction de Laurence Madeline, commissaire, conservateur en chef du Pôle beaux-arts, jusqu'au 4 janvier 2015. Préface de Jean-Yves Marin, directeur des musées. Dans son introduction, Laurence Madeline évoque les dernières années de Courbet ou la fin de la double peine. Contient une chronologie, et une liste des auteurs : James H.Rubin, Bertrand Tillier, Vincent Chenal, Flavie et Paul-Louis Durand-Ruel, Marc Vuilleumier, Laurence des Cars, Matthias Fischer, etc. Pour tout connaître de la vie de Gustave Courbet, après sa condamnation par le gouvernement d'Adolphe Thiers, après la chute de la colonne Vendôme, pendant la Commune de Paris. Il aura suffit de quatre années de vie dans sa province natale, pour tuer le truculent Gustave Courbet, dont l'œuvre n'est pas sans défaut à toutes les périodes de sa vie. Largement illustré de documents photographiques, d'archives et de reproductions. Relié, couverture cartonnée. 265 p. Format : 30 x 24,5 cm. 45€. Musée Rath / Musées d'art et d'histoire de Genève, jusqu'au 4 janvier 2015