La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Jean-Michel Alberola / Flammarion-Palais de Tokyo

Lundi, 29 Février, 2016 - 14:50

Surtout, ne jamais renoncer…

Tableaux. Il s’agit de la première monographie, à propos de l’œuvre de Jean-Michel Alberola. Elle est publiée à l’occasion de l’exposition « L’aventure des détails » présentée au Palais de Tokyo, du 19 février au 16 mai 2016. Les textes sont de Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti, et de Claire Stoullig, conservateur général du patrimoine, qui fut directrice du musée des Beaux-arts de Nancy. Jean-Michel Alberola a résisté à la vague dogmatique du minimalisme, et de l’Art conceptuel. Il fut un temps, où l’Art français était répudié, désigné comme insuffisant, par la critique officielle. La même, qui aujourd’hui survit dans le doute. Depuis toujours, Jean-Michel Alberola est défendu par la galerie Daniel Templon dont la lucidité ne peut être mise en doute. Il suffit de se souvenir, comment, il écarta de sa programmation, l’artiste lyonnais, Patrice Giorda. Un incontestable événement, à voir absolument. 250 reproductions en couleur d’œuvres des années quatre-vingt à nos jours. Relié, couverture cartonnée avec tranchefile. 240 p. Format à la française : 30 x 23 cm. 50€. Palais de Tokyo, du 19 février au 16 mai 2016.