Le château de Versailles dans la bande dessinée / In Fine – Château de Versailles
Le parti de cette exposition est de n'exposer que des dessins originaux, des travaux préparatoires aux planches finales. Le choix du lieu qui s'est imposé est la salle du Jeu de Paume. On constate une diversité d'approches, y compris dans le manga, « La Rose de Versailles » (Kana 2011). C'est une façon de redécouvrir le château de Versailles et ses jardins, servant de cadre aux récits de bande dessinée. Que ce soit dans Bécassine, en 1918, Marie-Tempête (Glénat 1994), Le Roi-Soleil (Casterman 2003), Marie-Antoinette, la reine fantôme (Dargaud 2011), Cagliostro (Delcourt 2013), Mémoires de Marie-Antoinette (Glénat 2017), Le château de mon père (Boîte à Bulles 2019), ou Le Chevalier d'Eon, tome 1 (Glénat 2019). Les thèmes développés par Yves Carlier, conservateur en chef du département des ressources documentaires du château de Versailles et Jacques-Erick Piette, responsable du secteur médiation du château de Versailles, sont : Versailles comme sujet, Versailles lieu de pouvoir, lieu de fêtes, lieu de vie, lieu de fiction, et, lieu d'histoire. Suivis de Versailles après Versailles. Un rendez-vous destiné à un large public, autant pour les amateurs d'histoire et de Versailles qu'aux amateurs de bande dessinée. Avec une préface de Catherine Pégard, présidente du musée et du domaine national de Versailles. Relié. Format : 24 x 28 cm. 196 p. 29€. Exposition Château de Versailles, salle du Jeu de Paume, jusqu'au 31 décembre 2020. Paule Martigny