Rembrandt intime au Musée Jacquemart-André
Même, si nous sommes dans le Baroque, il y a quelque chose d'admirable dans toutes ces magnificences d'un temps à jamais révolu, qui finit par accoucher, après des années d'apitoiement politique, de notre époque sans scrupule, où, la gauche socialiste réalise les pires malversations économiques, et politiques. Pas de grandeur dans le gouvernement menteur de François Hollande, au contraire de l'œuvre de Rembrandt (1606-1669), entièrement tournée vers la recherche d'une intimité véritable et sublimée. Une occasion de rendre hommage à mon ami, le peintre, Jean Couty (1907-1991), fabuleux peintre du XXe siècle, prix de la Critique à Paris, en 1950, membre du salon des peintres témoins de leur temps, récompensé en 1975, et admirateur de Rembrandt, à propos duquel, il rédigea un article inspiré dans sa rubrique régulière du Figaro. Je ne veux pas oublier, mon camarade et soutien, l'historien et critique d'art, Pierre Descargues (1925-2012) qui écrivit une biographie de Rembrandt, publiée en 1990, par Jean-Claude Lattès. L'exposition s'organise autour de trois chefs-d'oeuvre détenus par le Musée Jacquemart-André : Le Repas des pèlerins d'Emmaüs (1629), le portrait de la princesse Amalia van Solms (1632) et, le portrait du docteur Arnold Tholinx (1656) ainsi que de la réunion d'une vingtaine de tableaux, et d'une trentaine d'œuvres graphiques en provenance d'institutions, comme le Metropolitan de New York, l'Ermitage de Saint-Petersbourg ou la National Gallery de Londres, etc. Difficile d'approcher les toiles tant le succès est grand. Musée Jacquemart-André 158, boulevard Haussmann-Paris 8e, jusqu'au 23 janvier 2017. Tous les jours de 10 h à 18h. Nocturne lundi jusqu'à 20h30.