La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Sur les barques de Braque / Editions Michel de Maule

Mardi, 29 Janvier, 2013 - 12:04

Un autre regard…

Publié pour le 50e anniversaire de la mort de Georges Braque, et avec le soutien de Varangeville-sur-mer. L'auteur, Edouard Dor, a écrit plusieurs ouvrages sur l'art. Il révèle l'envoûtement de ce père de la Modernité que fut Georges Braque, pour les barques. Cette édition constitue un véritable exercice pédagogique. Les toiles de Braque sont confrontées à des chefs-d'œuvre de Gustave Courbet, Paul Cézanne, et même Chardin. Edouard Dor nous dit qu’à partir de 1928, pendant un séjour à Varangeville avant de s'y faire construire une maison et un atelier, Georges Braque commença l’étude de la thématique de la barque. Georges Braque pensait-il que la barque portait le symbole du passage vers l'ailleurs ? Edouard Dor nous rappelle que Pascal Quignard écrivit : « Il y a quelque chose de nostalgique dans les barques et dans les rivières qui sont comme des blessures qui vont à la mer ». L'éditeur a réussi autour de cet essai à concevoir un climat d'analyse et de recueillement. Relié. Couverture intégra avec tranchefile. Format : 21 x 16 cm. 96 p. 20€.