Vourles, Maison Forte, Regard sur trente ans d’expositions…
Avant les vacances de mardi-gras, prenez le temps de visiter à la Maison Forte, idéalement restaurée par le maire, Serge Fages, et son adjoint à la Culture, Michel Régnier, commissaire de cette exposition. Les délais sont toujours trop courts pour ces expositions vourloises. Alors, soyez vigilants, pour ne pas perdre cette occasion de voir des oeuvres de Jean-Baptiste Frénet, de Joseph Désombrages, de Louis Bouquet, on dirait un nu de Combet Descombes, de Pierre Bonirote, d’Etienne Douillet, de Georges Albert Tresch, de Jacques Truphémus, d’Adrien Godien, de Jacques Martin, de Jean Baptiste Chatigny, de Florentin Servan, de Pierre Bonirote, de Claude André Reverchon, d’Henry de Waroquier, de Henry Lachieze-Rey, de Paul Philibert-Charrin, de Louis Thomas l’artiste le plus passionnant du XXe siècle selon le galeriste Marcel Michaud, de Jean Scohy, de Louis Janmot l’ami de Charles Baudelaire, de Paul Borel, de Victor Orsel, de Camille Niogret, de Jean-Albert Carlotti, de Jean Bertholle à l’apogée de sa période symboliste, d’Eugène Brouillard, de Pierre Thévenin, d’Abel Gay, de Louis Carrand, de Régis Deygas, etc. Jusqu’au 23 février… Alain Vollerin