A Lyon, la Franc-maçonnerie ignore la plus élémentaire diplomatie…
A Lyon, le maire, Georges Képénékian est franc-maçon, tout comme l’adjoint à la Culture, Loïc Graber, qui fit récemment, dans le quotidien Le Progrès un outing superflu. Le maire est inculte. C’est une marionnette dans les mains de Gérard Collomb, lui aussi franc-maçon. Georges Képénékian fut chirurgien. Franc-maçon, il a maintenu le silence et le mystère sur la vente scandaleuse des tableaux de la collection de Napoléon Bullukian. Comment, après avoir accepté de voir l’école lyonnaise de peinture, ridiculisée avec la dispersion inquiétante à vils prix, des toiles merveilleuses de René Chancrin, de Jean Couty, etc, peut-il se prévaloir de défendre l’aventure des arts, à Lyon. Comment ? C’est une outrecuidance franc-maçonne. Et, nous en avons assez ! Faites le savoir autour de vous ! Voici que Képé le néant, le gouffre culturel abyssal se prévaut de remplacer Thierry Raspail (atteint par l’âge de la retraite), en chargeant bêtement, Sylvie Ramond d’assumer en plus de son poste actuel de directrice du musée des beaux-arts, la direction du Mac de Lyon. Ce premier degré du raisonnement maçonniqueest stupéfiant pour les esprits libres ! Encore de la magouille franc-maçonne. Il y en a marre ! Sylvie Ramond ne dispose pas des qualités indispensables pour diriger un musée d’art contemporain. La décision du remplacement de Thierry Raspail ne doit pas échapper au ministre de la Culture, Françoise Nyssen. Thierry Raspail avait demandé un prolongement d’un an. Il pouvait faciliter les conditions de son remplacement, dans la douceur. N’oublions- pas ce que nous devons à Thierry Raspail. Refusons la politique franc-maçonne du pousse-toi de là, que je m’y mette ! Je redoute l’arrivée d’heures sombres pour l’Art contemporain, à Lyon, et le triomphe des obscurantistes maçons…