A vos pinceaux, Fabrice Boustuche, sur France 2, le bazar télévisé est déjà déprogrammé...
A vos pinceaux fut un fiasco. On avait connu Fabrice Bousteau en censeur de l'art contemporain, s'étalant dans la revue Beaux-Arts, à la Fiac, dans les Salons officiels. Totobousteau donnait des leçons. Il jouait le jeu de l'Etat culturel, de la Mairie de Paris, de toutes les institutions. Snob, Boustitôt voulait être le premier, toujours. Pourtant, rien de respectable à son bilan, tout comme François Hollande. Il voudrait bien, mais, il défaille toujours, la preuve : son renvoi de France 2. Boustifada plagiait les animateurs de Top Chef. A vos pinceaux , s'écriait le vieux pinglo, pas rigolo. Avec son chapeau miche, comme son cerveau d'arriviste, Boustard frimait dans son costard, une saharienne, pour délirer à Thoiry, au zoo, au milieu des zèbres, des macaques, des gnous, et des autruches. Fabrice vécut une belle rencontre avec un lémurien. Et, oui, tout arrive ! Boustrou recherchait le nouveau génie pictural ! Pauvre rototochapo ! Combien touchait-t-il de France 2, pour mépriser les circuits de formation, comme les écoles de beaux-arts ? Marianne James est un guignol en jupon. Ridicule, on le savait ! Avec Boustoto, elle s'étalait dans les palettes. Elle se vautrait dans les natures mortes. Le principal sponsor : le Géant des beaux-arts n'a pas apprécié de voir sa clientèle sganarellisée. De plus, Boustutu déshonorait les lecteurs, et surtout, les abonnés de la revue Beaux-Arts. Ouistititache faisait un carnage en donnant des conseils idiots, à une dizaine de candidats inexpérimentés. Vilaine image des vrais amateurs de peinture. Heureusement, les téléspectateurs ne furent pas dupes de la sotte et vaine entreprise de Marianne James, et de Fabrice Boudepiste qui a perdu, à jamais, sa crédibilité, dans le monde de l'art, pour quelques picaillons. Une honte impardonnable ! Chapeau mou !