Académie Goncourt, démission de Pivot, un faux événement…
Et la pire, celle de l’arriviste forcené !... Bernard Pivot n'est fidèle à rien d’autre qu’à lui-même. Après avoir servi docilement, les éditeurs avec son émission Apostrophes, il avait monopolisé l’Académie Goncourt, réussissant même, ce qui est le plus odieux, à s’asseoir dans le fauteuil de Léon Daudet, fils d’Alexandre Daudet, exécuteur testamentaire d’Edmond de Goncourt. Cette fois, serons-nous débarrassés de nanard la pivoteuse ? Bernard serait-il devenu un prénom infamant ? Nous connaissions déjà le ridicule, mais, très dangereux, Bernard Tapie, le nanard des dessous de table. Nanard toujours en biais, partage t’il ses orientations coupables ? Nous vivons une époque indigente, où, pullulent les gourous. L’écologie est le nouveau territoire de prédilection des plus terribles affabulateurs écologiques : Emmanuelle Cosse, Yannick Jadot, Nicolas Hulot, Greta Tunberg, etc. Une preuve ? Jean-Luc Mélenchon recherche leur alliance ! Bernard Pivot fut l’un des premiers alibis médiatiques à une époque, où, déjà, l’inculture régnait sur notre pitoyable société. Aujourd’hui, les faux experts, grassement rétribués, occupent les plateaux de télévision. Les chaînes d’infos ont besoin de ces pisseurs ou pisseuses de mots abscons, et inutiles. Nous avions connu un Pivot nul et non avenu dans le Beaujolais, qui bien dans son image n’a jamais rien aimé vraiment, ni le football, ni rien d’autre. Nous souhaitons une très longue nuit, à Bernard Pivot, indécemment prudent, et cérémonieux…