Alain Marschall et Olivier Truchot, les petites gueules dérisoires...
Mais, ils ne sont que des esprits prisonniers de leurs patrons, Alain Weill et Patrick Drahi. Ces pseudos grandes gueules ne sont en fait que des opportunistes. Ils se sont acharnés sur François Fillon, faisant le jeu de Manu Macron. Ils n'étaient pas assez naïfs, pour croire qu'il réformerait le pays. Ils savaient que Manu Macron rassemblait autour de lui, une sorte d'armée à Bourbaki, constituée de tous les allumés marginalisés par le système. Ils savaient qu'au bout du compte, Manu Macron n'était pas socialiste, mais, un indécrottable agent du Medef et de Pierre Gattaz. Marschall et Truchot ont permis l'irruption de la vague d'inutiles qui encombre l'Assemblée Nationale. Sont-ils tous, ces exaltés macronisés de frais, sortis des statistiques du chômage ? Ainsi, cette mascarade aurait rendu un service au pays? Non, on ne s'improvise pas député, ni sénateur. Les sondages le démontrent, la fête macronénée est finie. Nous verrons, pendant les prochaines sénatoriales que les serviles candidats de Manu Macron ne bénéficieront plus des voix des opposants au Front National. Il n'y aura pas de tsunami sénatorial. Le parti de Manu Macron est promis à l'éclatement. Il finira comme les grognards dans la Bérésina. Le cerveau gelé par les couleuvres glacées qu'il aura ingérées et regurgitées à ses militants guenillards de la pensée politique contemporaine. Leurs idées sont des lambeaux couinards arrachés à tous les pires projets de tous les utopistes français de la fin du dernier demi-siècle d'Alain Madelin à Philippe Léotard, en passant par Alain Minc, et, le plus infâme, Jacques Attalili. J'ai honte pour Marshall et Truchot. Il n'y a pas de grandeur chez ces minuscules gueulards. Que des bassesses ! Qu'un mépris pour le peuple qu'ils abusent au quotidien, dans le bruit et la fureur des partisans de la magouille et de l'équivoque. Quand on pense qu'ils ont doré la pilule d'un Gilbert Collard, offrant ainsi une tribune régulière au Front national, et celle, d'un marchand avili de billets d'avion, toujours en mal de trésorerie. Triste bilan, pour ces deux Don Juan de maisons de retraite, presque pire que celui d'Hollande Tartandouille !...