Alain Minc poudré comme une très vieille courtisane...
Alain Minc revient en supporter de Macron. Mais, où était, l'économiste absurde qui joue au philosophe, Alain Minc, roi du mic mac verbeux. De quelle lessiveuse empuantie fut-il tiré ? Bien entendu, vous ne vous souvenez plus d'Alain Minc. Parfait salonnard parisien, courtisan éperdu qui vota pour François Mitterrand, Alain Minc est pour la Droite républicaine ce qu'Attali représente pour la Gauche. Une mine de conseils à ne pas suivre, et de fausses bonnes idées, ramassés dans de laides poubelles infectées. Macron peut se féliciter de réunir toutes les nullités de la planète politichienne. Comme Marine Le Pen, il ne peut plus compter les déçus qui se rallient à lui. Il ne lui manque plus que le ralliement d'Alain Madelin qui fit de nombreuses fois la démonstration de l'aspect délirant de ses observations, et qui réapparaît comme un gourou sur une chaîne de radio, dont je tairais le nom, tant elle nous lasse. Macron a besoin de prophètes, de porteurs de solutions miraculeuses. Quand on s'associe avec le traître Bayrou, on touche le fond. On démontre son insondable rouerie. Alors, c'est fait ? Le déshonneur est à la mode ? Il peut régner ? Il constitue le cœur de notre système social. Les mensonges de François Hollande, ses puantes manœuvres de diablotin revanchard, les manipulations économiques incessantes de Michel Sapin, l'impudence de la bonniche de l'Elysée, Ségolène Royal font école. L'ordure gouvernementale serait-elle devenue une vertu, pour les Français et les Françaises, pour leurs enfants, pour leurs parents ? Un cauchemar ? Voir, l'image féroce, le visage haineux de Bernard-Henri Lévy à la télévision, en est un autre. Il éjacule des menaces putrides, lui qui se trompa à peu près sur tout. Ne voulait-il pas entraîner François Mitterrand, dans une guerre sur les territoires de l'ex-Yougoslavie. Mitterrand ramena Lévy à la marge, d'où, il ne devrait jamais sortir, s'il ne bénéficiait pas de l'insatiable appétit des journalistes pressés de vendre de la copie. 50 % des électeurs n'ont encore pas fait leur choix. Seront-ils encore capables d'infléchir la balance ? De nous délivrer des bavards, comme Alain Minc, providentiel pour des médias incapables de la moindre analyse personnelle. Leurs patrons imposent, et, ils obtempèrent lâchement, comme Jean-Jacques Bourdin, aboyeur des nuits sans lumière. Va-t-on enfin punir ce François Hollande, donneur de leçons de probité, lui qui savait qu'il était entouré d'innombrables défaillants au régime des impôts, comme Cahuzac, comme Montebourg, comme Anne Hidalgo, comme Vincent Placé, etc ? Patience, Alain Minc rejoindra bientôt ses chères toiles d'araignées, dès, que Macron aura mordu la poussière...