Alexandre Benalla, il n'y a pas d'affaire d'Etat !...
Puisque, les vidéos font désormais partie des pièces à conviction incontestables, il en existe une qui établit de manière définitive que, l'homme et la femme agressés par Alexandre Benalla, furent d'abord les auteurs d'actes de violence répréhensibles par la loi. En effet, sur ces images, on les voit porter des coups aux forces de l'ordre présentes sur la place de la Contrescarpe, en leur jetant, après l'avoir détruite, les éléments d'une terrasse de café. De plus, on voit nettement la jeune femme faire un bras d'honneur aux policiers, en les injuriant. L'attitude d'Alexandre Benalla, venu soutenir les policiers en action, si, elle est indéfendable, et hors de proportion, n'était pas sans motivation. Cette vidéo doit interrompre toutes les revendications menées par une presse qui est passée du statut d'informateur à celui d'inquisiteur sans scrupule. Le spectacle qu'elle nous donna, depuis ces derniers jours, était à vomir. Il encourage les méthodes injustes d'une opposition qui n'hésite plus à copier les attitudes fascistes des militants du Front national, de Marine Le Pen, et de ses amis. J'ai honte de voir Gilbert Collard, à la façon d'un Mirabeau de pantomime, demander des comptes à un ministre de la République, alors, que son parti a vécu de fraudes au détriment de la Communauté européenne. J'ai honte pour Eric Ciotti, pour Alexis Corbière, pour Eric Coquerel qui s'habillèrent sans hésiter dans les vêtements d'une justice menée, comme le faisaient les nazis, ou, la Stasi, et dont le courageux ministre de l'intérieur fut la victime médiatique. Quel horrible visage de la justice de notre pays donnèrent ses représentants exaltés par l'odeur du premier sang ! Ils ressemblaient à des coupeurs de têtes aux pires heures de la révolution de 1789. S'il y a outrage à nos libertés, il vient d'eux, et du soutien qui leur fut accordé par une presse indigne. Non ! Il n'y a pas de scandale d'Etat ! N'en profitez pas pour fouiller dans les poubelles de la République française, de la République en Marche ! Emmanuel Macron eut raison de ne pas se précipiter dans les filets des « chiens » de cette presse en recherche de scoops sensationnels pour vendre de l'événementiel. Celui-ci, bâti sur des informations incomplètes, nous coûte très ! J'ai honte pour Christophe Barbier, arriviste prophète de l'inutile, et, pour tous ceux qui comme lui, acceptèrent d'insulter l'Etat français, sans attendre de découvrir ses images qui démontrent la culpabilité de ces deux personnes qui passent désormais du statut d'agressé, à celui de fauteurs de trouble graves à l'ordre public. Mécréants, fichez la paix au ministre de l'intérieur, et, aux membres du cabinet du président. Benalla est justement puni. J'attends que l'on juge les deux enragés, à l'origine de cette pitoyable histoire !...