La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Apathie Jean-Michel, procureur et inquisiteur !...

Samedi, 31 Décembre, 2016 - 20:01

Apathie, la violence dans les mots et les méthodes...

Apathie est un adepte des pires méthodes d'interview à la mode. Pour Apathie, il faut se montrer intransigeant, surtout avec les hommes politiques de la Droite républicaine. On sent que François Fillon est aux yeux d'Apathie, la bête qu'il faut abattre, impitoyablement. Apathie n'hésite pas à dérouler le tapis rouge, sous les pieds des pires représentants du Front national. Il ne mesure pas les risques qu'il fait prendre à notre Démocratie. Il ne se pose pas de questions. Il fonce, aux ordres des forces de Gauche, inéluctablement divisées. Il faut voir Apathie prendre sa tête de Tapir enragé, roulant des yeux de thon inquiet, et, répétant, inlassablement, la même question, lorsque son interlocuteur se dérobe, ce qui est son droit le plus respectable. Mais, Apathie exige, et monte le son. Il s'égosille : Pourquoi ? Comment ? Quand ? Avec qui ? Sous la pluie ? Dans la neige ? Et, il reprend, comme le fait aussi, l'instable, et frénétique, Jean-Jacques Bourdin. Avec qui ? Répondez ! Vous n'avez pas répondu à ma question ! Et, Apathie recommence : Pourquoi ? Comment ? Quand ? S'il n'obtient pas les réponses espérées, il reprend encore, épuisant son invité, le poussant derrière ses frontières les plus intimes, sans aucun respect pour l'Autre. Quelle vilaine image de la presse contemporaine ! On entend un bruit sinistre. Apathie, le basque rugissant grince des dents. Combien de temps devront nous subir cette attitude d'instructeur de police ? Tous coupables ! Pour Apathie, les personnalités qu'il reçoit sont placées devant des actes d'accusation. Apathie est implacable. Il fait peur. Il grimace. Il angoisse son public. Apathie fait école. Il a ses disciples, comme Myriam Encaoua, plus aboyeuse que jamais. Heureusement, face à ces dogues dangereux, certains luttent courageusement, comme Gérard Larcher, président du Sénat. La responsabilité d'Apathie est immense face à la montée du Front national. Il devra un jour répondre de son inconséquence !...