Aquilino Morelle, qui a voulu le tuer ?...
Aquilino Morelle tombe, quelques jours après la mort de Jacques Servier, patron des laboratoires les plus honnis de ce début de XXIe siècle. Existe-t-il un rapport, entre les révélations des turpitudes élyséennes d’Aquilino Morelle, et le décès de cet industriel de la pharmacie, martyrisé, honteusement traîné dans la boue, pendant des semaines et des mois, comme savent, si bien le faire les socialistes entartandouillés et leurs complices de la presse aux ordres les : Alain Duhamel, Robert Namias, Michèle Cotta, Anne Sinclair, etc. N’y a-t-il pas de quoi affaiblir un homme de son âge, d’abréger son existence ? N’y a-t-il pas quelque chose de honteux, dans le harcèlement quotidien, dont fut victime Jacques Servier ? Curieusement, Aquilino Morelle travailla pour l’Igas. Inspection Générale des Affaires Sociales. Comment ne pas établir un lien ? Nous sommes tellement habitués aux pires malversations de la part de François hollande tartandouille. Tout devient possible, et surtout le pire. Aquilino Morelle, fut-il victime d’un règlement de comptes, de la part de Valérie Trierweiler ? Aquilino Morelle, le conseiller intime d’Hollande tartandouille, a-t-il pesé dans la décision d’abandonner Valérie Trierweiler « aux chiens » de Closer, selon la mitterrandienne définition des journalistes pendant la ténébreuse affaire Bérégovoy. Valérie Trierweiler a-t-elle réussi une vengeance tardive ? Rien d’impossible, puisqu’on nous annonce ces jours les retrouvailles de tartandouille et de Trierweiler, la répudiée de la République. Quelle gabegie !... Pauvre Julie Gayet !.... Est-elle consentante ? François, Valérie et Julie sont-ils en train de nous jouer « la triplette de l’Elysée » ? Pourquoi pas. Leurs pitreries sont pitoyables. Du grain, de l’ivraie pour Closer. Et pendant ce temps-là, on brade le meilleur de notre industrie. Pendant ce temps-là, le maladroit Montebourg persiste dans ses circonvolutions ridicules. Pendant ce temps-là, le Parti Socialiste désavoue Manuel Valls par la bouche du meilleur d’entre eux, le courageux Gérard Filoche, que j’ai entendu médiocrement moqué à satiété, par les incapables tartandouilleurs de RMC : Alain Marschal, et l’infâme Jacques Maillot, etc. Les Grandes Gueules ? Des vendus incrédibles ! Pendant ce temps-là, le Front National décuple son influence, et la tragédie des élections européennes s’annonce catastrophique pour la Commission Européenne. Hélas, pour la France, les nouvelles sont moches du côté gouvernemental. Veut-on maintenant faire la guerre à Vladimir Poutine ? Ruinés. Sganarellisés. Pourquoi, jouons-nous les gendarmes du monde, à la place d’Obama et des Américains ? Et, le pire est à venir… Inéluctablement…