Azouz Begag aura tout essayé !...
Avec plus ou moins de succès, mais il est prêt à tout, alors de nombreux espoirs lui sont encore permis. Au début de sa carrière, Azouz Begag jouait à l'écrivain. Il entreprit ce qui était le plus facile, un récit autobiographique. La période était à l'intégration des jeunes émigrés algériens. On trouva de l'intérêt à ses écrits. Il se défendait alors, de déroger à son destin d'homme de plume. Hélas, pour le romancier du « Chaâba », les politichiens vinrent le chercher. Il fallait plus d'émigrés algériens, dans le gouvernement de Jacques Chirac.Villepin fit appel à lui, il le nomma ministre délégué de la promotion des chances. Pas mal, pour un coup d'essai. Mais, la chance, Azouz Begag pensait surtout à la mettre de son côté. Avec l'argent qui va de pair. Le fric, c'est terrible. Une fois qu'on y prend goût, toutes les compromissions sont possibles. Ne refusant rien, Azouz Begag fut ensuite, candidat UDF aux élections législatives du Rhône. Les électeurs ne furent qu'un peu moins de 15% à lui apporter leurs suffrages. Azouz Begag qui a la tête près du bonnet, en conçut un léger début de rancoeur. Lui, si souriant, si ouvert sur le monde, il en devint grinçant. Son humour avait disparu. Ne sachant plus où se placer, il répondit aux sollicitations généralisées du ridicule François Bayrou qui ouvrait très largement les portes de son parti, l'ineffable Modem, lunaire, bien entendu. Azouz Begag, ce n'est pas de ma faute, si dans Begag, il y a gag, se présenta comme tête de liste aux élections régionales. Nous étions en 2010, il ne fit qu'un tout petit peu plus de 4%. Un chiffre à l'échelle de la quantité de ses lecteurs. Quelle faillite ! Quelle atteinte à son honneur ! Azouz Begag en conçut une sorte de haine, contre les Lyonnais et les Lyonnaises. Maintenant, il n'hésite pas à déclarer dans le journal Le Progrès: « je ne reviendrai plus jamais à Lyon. » Oh ! La bonne nouvelle !... Il y a bien longtemps. Après tous les errements que nous impose le président Hollande Tartandouille, voici enfin une bonne nouvelle. Prêt à tout, comme je l'ai dit, Azouz Begag, n'hésita pas à rencontrer Laurent Fabius, ce ministre des Affaires Etrangères qui vient de se ridiculiser en Syrie. Il lui aurait dit : « je veux intégrer le ministère des Affaires Etrangères. » Quel caractère!... Et, Fabius obtempéra ?... A qui, Azouz Begag fera-t-il croire en cette faribole politichienne? Il y a du piston là-dessous. Vient-il de Bayrou, de Villepin ? Allez-savoir. En tous cas, Azouz Begag, ne nous dit pas tout. Pour l'instant, il est ambassadeur au Portugal. Un très mauvais ambassadeur qui se permet de déclarer dans un journal, son désaccord aves son ministre, dans la politique préconisée par lui-même, en Syrie. La Begagbegie continuerait-elle ?