Bayrou et Borloo, une association de malfaisants...
Combien Borloo (faut-il prononcer Borlou ?) a-t-il touché, pour remettre Bayrou en compétition, lui racheter une virginité, et de ce côté là, il y avait du boulot ? Fut-il payé en saucisses paloises, le futil Borloo ? Nul homme politique au monde, et on sait à quel point, il existe des types ignobles sur la planète, n'a aussi bien incarné que Bayrou la flagornerie, la magouille, et la fripouillerie politique. Un seul, tartandouille le fasciste, le dépasse dans l'ignominie politicarde. François Mollande, haï par huit français sur dix. Bayrou, comme Mollande, a tout dit et son contraire. Il soutenait Sarkozy, après avoir servi Balladur. Il joua les Raymond Barre, jusqu'à trouver trop long le temps d'apparaître enfin, comme un homme providentiel. Il a bavé toute sa haine de Sarkozy, acceptant sans honte, ni crainte du déshonneur, de servir la soupe à Ségolène Royal, l'ébravagée. Nous avions atteint avec cette association, un point culminant de la sottise politichienne française. Et pour finir, ce coupable itinéraire, et les Français et les Françaises ne le lui ont pas encore pardonné, Bayrou appela au vote pour son alter ego démagogique, Hollande Tartandouille. L'union Borloo-Bayrou n'a convaincu personne, et surtout pas, les journalistes gauchos qui tentèrent d'agiter le poisson dans son bocal, pour faire du tort à l'UMP, et à François Fillon. Si Bayrou vient d'accepter cette aliance du mérou alcoolique, et du frénétique merlu, poissons d'eaux troubles, il n'y a qu'une seule raison. Bayrou veut être élu maire de Pau. Je plains les pauvres Palois et Paloises. Auront-ils l'indispensable sursaut, pour bouter le sinistre Bayrou, hors de leur région ? S'il était vainqueur, Bayrou s'empresserait de cracher dans la soupe du père Borloo. Non pas, parce qu'elle serait aromatisée au vin de Lille, mais, parce que la trahison est chez Bayrou une première nature. Le Bayrou est congénitalement arriviste et truqueur. Et la France là-dedans ? Bayrou s'en fiche. Il veut s'empiffrer de garbure, de confit, de ventrèche, de broye (une bouillie dans laquelle, il patauge depuis sa naissance) en pétant, sans scrupule, au nez de Borloo et de ses anciens amis. Dieu protège le pays béarnais de l'appétit palois de Bayrou, le discourtois avide.