Bayrou Françoué, le retour du traître...
Qui frappe la nuit, dans une ruelle déserte, et dans le dos... Ah! les mauvais sentiments de François Bayrou... Comme, ils le rongent, l'usent, le conpénètrent excessivement... La jalousie dévore l'esprit de ce basque, qui fait honte à tout son terroir. François Bayrou fut l'ami intime de Nicolas Sarkozy. Son confident, son complice. Sur cette alliance, Bayrou fondait de folles espérances. Il voulait être plus grand qu'un nabot, il demeura un nain politichien, et psychologiquement, il ne peut pas se le pardonner. Alors, il aboie, il râle, il tente de mordre, il organise des traquenards infâmes qui lui firent perdre son mandat de député. Normal, les Français ne sont pas toujours des idiots. Le dernier complot ignoble de Bayrou, c'est l'affaire de la trahison d'état autour des indemnités données à Bernard Tapie. Cette fois, le sinistre Bayrou espère taper fort dans le jeu de quilles. Rendez-vous compte, régler en une seule fois ses comptes avec : Christine Lagarde, Claude Guéant, Bernard Tapie, et Nicolas Sarkozy. Pour un type qui au tir, raterait une vache dans un couloir, l'occasion est trop favorable pour qu'il résiste. Bayrou est un perdant, le roi de l'échec. Il porte malheur. Il fait peur aux enfants. Une fois encore, il s'allie au camp socialiste, pour nuire à ses anciens amis. Il avait fait du gringue à Ségolène, désormais solitaire, il ressemble de plus en plus au fantôme lyonnais de Michel Noir. Leurs prises de paroles ne parviennent plus à convaincre. Elles sont seulement utiles aux socialistes, et à leurs amis qui ricanent, et additionnent les points. C'est curieux, on ne parle plus de l'affaire Cacahuzac. Bayrou ? Même Jean-Louis Borloo n'en veut pas, et pourtant, pour son UDI, il recrute n'importe qui. Bayrou ne peut rien faire d'autre que de donner son opinion. Il nous rase. Des solutions à nos problèmes économiques, il n'en a pas, ou bien ce sont celles que tout le monde connaît : l'Euro, l'Europe, etc... Bayrou est définitivement répertorié... Dans la famille « traîtres politiques », je demande le père...