Béatrice Benoit-Gonin, l’enfiaquée mondaine…
Béatrice Benoit-Gonin, au fil des années se maintient au niveau, celui de son employeur William Leymergie, la nullité culturelle. Pire est impossible. Si, il y a encore, Sylvie Adigard, maquée avec tout ce que l’architecture fait de plus bobo, bibi, baba à Paris… Béatrice Benoit-Gonin ne dispose que d’un très vague vernis de culture, pourtant, elle parle haut et fort, comme si elle savait. A chaque fois qu’elle prend la parole, elle bafouille, elle patafouille, elle s’embrouille dans l’inculture la plus profonde. Pas un sujet qu’elle parvienne à dominer. Son seul atout tient dans son physique. Elle est brune et très plantureuse. A chacun son diplôme. Un genre de beauté pas très utile, pour dominer un dossier. Béatrice Benoit-Gonin massacre tous ses sujets. Le dernier en date, la Fiac. Elle en parlait, comme on lui avait dit de le faire, comme le commissaire général, Jennifer Flay, le lui avait recommandé. Elle recrachait son dossier, sans le moindre apport personnel. Elle n’eut pas un mot sur la soirée de vernissage qui fut une gabegie complète, car Jennifer Flay, en charge de la Fiac depuis dix ans, envoie beaucoup trop d’invitations, sans aucun respect pour les visiteurs et leurs conditions d’accueil. Des centaines de personnes, parquées derrière des barrières, pendant des heures. Un scandale. Mais, Béatrice Benoit-Gonin n’a aucune rigueur. Comme François Hollande Tartandouille, elle peut dire tout, et son contraire, dans la seconde suivante. Le véritable événement, c’était le Slick, mais, Béatrice Benoit-Gonin ne connaît rien, et surtout pas le Slick…