Cambadélis mange-t-il trop de caramels mous ?...
Au fait, le savez-vous ? Le caramel est le nom que l'on donne à un bon coup de poing dans la gueule, dans l'univers glauque, où règne en maître absolu, le redoutable Cambadélis. Hollande tartandouille en avait assez d'entendre Harlem Désir exposer son point de vue, sur le moindre événement politique. Surtout que le résultat était équivalent à un triple zéro. Des couacs, des couics, enfin un infernal cloaque, où Harlem Désir faisait patauger le gouvernement tout entier, ainsi que l'ensemble des adhérents de son parti. Hollande tartandouille est allé, au fin fond de la porcherie à cochons socialistes, pour tirer de son auge, un effrayant goret au poil grillé et lustré, comme un canard laqué. Pas très appétissante, l'image, et pourtant. La meilleure des publicités, pour la plus menteuse des cures d'amaigrissement. Cambadélis n'est pas très ou trop gros, simplement, il n'entre plus dans sa culotte, ni dans son pantalon, et encore moins, dans son paletot. C'est triste, mais que faire pour lui ? Ses vêtements proviennent d'un des meilleurs faiseurs de la place de Paris, mais apparemment tout effort est inutile. Cambadélis fait bouffi d'orgueil, là, pas de doute, mais de trop de bouffes, au frais du contribuable. Cambadélis ressemble plutôt à un homme de main, vulgaire tête à claques rémunérée, dans un mauvais polar américain. Rien de bon ne viendra de ce méchant bonhomme. Pour tromper le monde, il s'exprime, lui habituellement si gueulard, avec une toute fluette voix de jeune fille. On est surpris. Pas forcément agréablement, mais on est surpris, incontestablement, surpris. Quelle mise en scène de la part du système socialiste ! Je crois les entendre. Bon, les gars ! Il faut du changement, maintenant, là, tout de suite, cette fois. On vient de prendre une sacrée branlée aux municipales, alors, en avant. Comment peut-on faire ? D'un côté, nous avons le teigneux valseur de Valladolid. C'est le méchant congénital, redresseur de l'insupportable sort des Français, dont le véritable auteur est François Hollande, et ses impôts, et tous ses défauts. De l'autre côté, chez les militants, le peu qu'il reste, il nous faut une parodie de l'ordre absolu, une sorte de Lino Ventura, mais là, où Lino avait du cœur, cette incarnation de toutes les tripatouillades politichiennes n'aura que du plomb, mais surtout pas dans la cervelle. Le résultat est remarquablement réussi. Les socialistes ont nommé, sans aucune élection démocratique, un garde du corps, de n'importe quel corps d'ailleurs, au poste de premier secrétaire de leur parti. Quelle ignominie ! Trois dangereux guignols, pour un impossible retournement économique, dont l'échec est d'ores et déjà avéré. Et, si vous n'êtes pas contents, le pantalonneur entartandouillé vous enverra son molosse. Pour le calmer, un seul remède, envoyez lui des caramels dans les chicots !...