Ce sont les mémères qui font la gloire des magouilleurs !...
Et, après Macron, bientôt, Carlos Ghosn. Les mémères franchouillardes adorent les manipulateurs, les tricheurs, les menteurs ! Avez-vous observé les files d'attente devant les librairies qui vendent le dernier bréviaire à sornettes d'Hollande tartandouille. Des mémères, de toutes les strates de la société, étirées en rang de corniolons insipides. Elles sont de bonnes clientes pour répliquer les pires élucabrations de la presse, justement qualifiées par le pape François de coprophiles (traduction : mange merde). Elles provoquèrent l'élection, puis, la réélection de Mitterrand, oubliant qu'il avait demandé la honteuse francisque, aux amis du maréchal Pétain. Elles permirent au traître Chirac d'arriver à la présidence de la République, lui, qui avait, ignominieusement, soutenu la candidature de Mitterrand contre Giscard d'Estaing, plongeant la France dans dix ans de déshonneur. Chirac qui avait envahi la mairie de Paris, plongeant dans toutes les caisses, jugé et condamné, et, qui fit payer ses dettes à son parti politique. Vilaine France qui accepte de voir le responsable de nos malheurs pendant cinq ans, revenir à la télévision avec le concours du bellâtre « Delamousse ». Impuni, comme Tapie dont les deux procureurs reconnaissent qu'il est à l'origine de l'affaire Adidas et du Crédit lyonnais. Cinq ans de prison qu'il ne fera jamais, ce qui ne l'empêchera pas d'ouvrir sa gueule de victime permanente. Marine Le Pen qui justifie l'expression « bête comme Marine Le Pen » perdue sans les fiches préparées par ses sbires, et, admirée par les mémères invertébrées ! Heureusement, en France, il y a encore des individus de premier plan, comme Muriel Pénicaud, Agnès Buzyn, Elisabeth Borne, Frédérique Vidal, Jean-Michel Blanquer, Nicole Belloubet, Edouard Philippe, etc. Amis, soyons vigilants, le fascisme frappe encore à nos portes, comme l'explique très bien dans son dernier livre : « Fascisme l'Alerte », Madeleine Albright, publié aux éditions Salvator.