La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Charlie Hebdo, des anars, d’anciens maos blasés, métamorphosés en marchands de soupes religieuses….

Mercredi, 19 Septembre, 2012 - 16:53

Et pour quelques dollars de plus…

Dans la presse française quels sont les journalistes les plus volatiles, les plus vénaux ? Le Canard Enchaîné ? Libération ? Le Monde ? Devinez ! Les scribouilleurs de Charlie Hebdo vous crachent à la figure. Ils vous méprisent, françaises et français. Le film anti-Mahomet, ils s’en foutent. Les guerres de religions, aussi. La liberté de la presse, ils la conchient. L’éthique, ils n’en ont pas, sauf si elle les arrange. Ce n’est pas la première fois que dans cette rédaction sans scrupule, l’idée de faire du fric sur le dos de l’électeur a germé La dernière fois, leurs victimes ont allumé le feu dans leurs bureaux. Vous en faites pas, Charlie Hebdo a fait jouer ses assurances. Mais, Charlie Hebdo a besoin d’argent pour payer grassement ses rédacteurs qui ne vivent pas avec le salaire minimum. Vous en faites pas pour eux. Les fieffés roublards sont prêts à tout. Les ficelles, ils les connaissent. Leur dernière Une est un scandale. Les articles intérieurs sont paraît-il plus ignobles encore. Je m’en moque, je ne lirai pas. Mais, au fait, qui lit encore Charlie Hebdo ? C’est pareil que dans les partis politiques. Il n’y a plus personne. Mahomet est bien utile. La polémique sur Internet bien profitable. Les maquignons de Charlie Hebdo ont vendu dans la journée 75 000 exemplaires de leur torchon. Ils en fourgueront 200 000 exemplaires d’ici samedi, date de la manifestation interdite. Par ici, les fafiots. Les fanatiques de Charlie Hebdo jouent sur le velours. Vous, contribuables bernés, vous payerez les fonctionnaires de police en faction devant leurs nouveaux bureaux du 20e arrondissement de Paris. Aux gendarmes les gnons, à Charlie Hebdo le pognon. Nous sommes ridiculisés, sganarellisés. Ceux qui pensent que cet acte sera sans conséquence ont tort. Hélas ! Il y a en France bien plus que 100 ou 250 musulmans concernés et révoltés par l’attitude des Charlies. Les musulmans sont plus de 5 millions dans l’hexagone. Voici de quelle façon commencent les guerres, par des inconséquences. Sur la diffusion du film caricaturant Mahomet, François Hollande avait le devoir de demander son interdiction sur le territoire français, et européen. Nous devons envoyer des messages forts au peuple musulman. François Hollande n’avait pas le droit de venir ergoter devant les télévisions. Il a été, lui aussi, et une fois de plus, inconséquent. Il n’est pas question de peur. Désolé, les blagues sur le pape, les rabbins, les imams, Dieu, Mahomet ou Bouddha ne m’amusent pas. Charlie Hebdo stigmatise les adorateurs de Mahomet, il n’en a pas le droit. Charlie Hebdo est le fruit d’une inconséquence permanente. Nous verrons samedi à combien s’élèvera la facture, en vitrines cassées, en nombre de blessés, etc.