Collomb et Kimelfeld, les grimaces sans la soupe…
Et pourtant, ils sont élus à Lyon, capitale gastronomique. D’abord, Collomb paraît vieilli. Est-il malade ? Les Lyonnais s’interrogent. Peuvent-ils encore accorder leurs suffrages à ce personnage dont la tête ressemble de plus en plus, à une très vieille pomme ? Quant à Kimelfeld, il doit encore faire ses preuves. Il a trop l’air d’un traître, pour lequel, Collomb a fait tout le travail, pendant des années. Il y a du serpent ingrat, chez Kimelfeld. On le voit ramper vers le pouvoir, prêt à tout pour détruire son adversaire. Malgré les rumeurs, la réconciliation est impossible. Collomb voudrait imposer des limites à cette lutte fratricide, à la fin septembre, pour que la situation soit claire entre les deux protagonistes. Kimelfeld s’avère, en la circonstance être un mauvais infirmier. Il ne soigne pas, au contraire, il creuse les plaies de Collomb. Partager une soupe. Certainement pas, elle sera à la grimace, il n’y a pas de doutes. Réjouissez-vous, Collomb et Kimelfeld vont devoir mouiller leurs chemises. Le spectacle s’annonce passionnant. Pendant ce temps, on entend pas parler d’Etienne Blanc, l’adversaire officiel de Collomb, représentant de la Droite. A Droite, donc, pas de chef. Pascal Blache en profite pour conforter sa place dans le sixième. Une très bonne occasion perdue pour Etienne Blanc. Collomb et Kimelfeld auraient de bonnes raisons de rire. A voir leurs tronches, nous sommes certains qu’il n’en est rien ! Amis, soyez vigilants !