Collomb et Kimelfeld pas de divorce à l’amiable !...
Ces deux-là se haïssent. Il faut dire que Gérard Collomb fut trahi par celui qui lui devait tout, Kimelfeld. Vous avez dit traître ? Gérard Collomb a cru qu’il tenait en Kimelfeld une nouvelle serpillère, à la Georges Képénékian, rinçable, humiliable, et corvéable, selon ses humeurs. Les Lyonnais et les Lyonnaises apprécient-ils ces luttes intestines qui sentent mauvais ? Sont-ils prêts à permettre l’élection du trouble Kimelfeld, préparé à toutes les mésalliances (il n’est pas protégé par la Franc-maçonnerie, il me l’a avoué, les yeux dans les yeux, l’an dernier) et, l’élimination de Collomb de la Ville et de la Métropole ? En tous cas, Kimelfeld et Collomb font de tristes bobines. Ils sont très loin de la sérénité. Quelle vilaine image ! Pendant ce temps, la Droite d’Etienne Blanc s’organise autour de noms inconnus qui devront batailler pour récupérer les voix d’électeurs effrayés. Une réorganisation, un rééquilibrage du Conseil municipal et de la Métropole serait une avantageuse marque de démocratie lyonnaise. A Droite, on se divise, Etienne Blanc méprise le modemiste Broliquier qui risque son maroquin dans cette inutile confrontation. Amis, soyons vigilants, ne vivons pas dans l’illusion. La route sera longue pour Etienne Blanc qui risque d’apprendre, à son détriment, qu’à Lyon, plus qu’ailleurs, il est très difficile de laver « plus blanc ».