Connaissez-vous le RSA ?
Il s'agit du Revenu de Solidarité Active versé par les Allocations familiales. Destiné à garantir à ses bénéficiaires, qu'ils aient ou non la capacité detravailler, un revenu minimum, avec en contre-partie une obligation de chercher un emploi, ou de définir et suivre un projet professionnel visant à améliorer leur situation financière. Je ne l'ai jamais perçu. Je n'ai pas cherché. Jamais. Pas un sou, un franc, un euro. Rien, nada. Son montant est de 550,93€ par mois, avec un enfant : 826,40€, avec un enfant en couple : 991,68€, personne seule avec deux enfants : 981,86€, en couple avec deux enfants : 1156,96€, et par enfant supplémentaire : 220,37€. Un petit retraité qui a travaillé toute sa vie touche beaucoup moins, sans parler de bon nombre de cultivateurs qui ne peuvent pas se verser de salaire. Le RSA sera augmenté en avril 2019. C'est une aide à des familles en difficulté, récoltée aussi par certains tricheurs qui en bénéficient injustement. N'oublions pas qu'il existe en France des milliers d'emplois non-pourvus, dans tous les métiers. Il est régulièrement versé aux habitants des banlieues. Certaines familles touchent 2000€ par mois, auxquels, il faut ajouter toutes les autres aides, comme l'allocation logement. Dans ces conditions, uniques dans le monde européen, comment pourrait naître l'envie de travailler. Une belle rente pour regarder la télévision ou jouer sur des portables ! Que dire d'un pays qui nourrit des gens à ne rien faire ? Certains affirment que l'Etat achète à ce prix la paix sociale, ce qui paraît vrai. Plus de deux millions cinq cent mille personnes le perçoivent, pour un montant global mensuel de 500 000 millions d'euros, et, un chiffre annuel de plus de 5 milliards d'euros. Un budget colossal que doit gérer sans sourciller, la ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn. N'y a-t-il pas là, quelque chose de scandaleux ? Mais, cela ne suffit plus, ou, de moins en moins. La présidente du Conseil régional Île-de-France, Valérie Pécresse dénonce avec raison, la violence accrue dans les banlieues. Elles se réveillent. Elles nourrissent les manifestations de gilets jaunes de casseurs, courageusement cagoulés qui démolissent les vitrines des commerçants à Paris, à Toulouse, à Marseille, à Lyon, à Bordeaux, etc. Amis, je voulais simplement vous informer, et réveiller votre vigilance !...