Damien Voutay est un homme dangereux pour les artistes
Damien Voutay a choisi son meilleur ami et complice, Denis Vaginay. Ils ont en commun, un arrivisme forcené. Dire qu'ils sont prêts à vendre père et mère contre quelques picaillons et la domination d'un univers vacillant, serait une faible litote. Comme expert en art, Damien Voutay a une âme de valet, ou plutôt de boniche de tripot. Il a démontré qu'il était prêt à toutes les trahisons. Ainsi, après avoir célébré selon mes principes, l'existence de l'Ecole de Lyon, il a retourné sa veste pour en nier l'existence en se « vaginilisant ». Il apporte sa caution à Etienne de Baecque, participant à la mort des galeries lyonnaises, au profit de son patron qui achète toutes les charges disponibles. La dernière en date étant située à Marseille. Pour sa gloriole, Damien Voutay assassine les cotes des artistes lyonnais et devient coupable de la disparition des marchands valeureusement engagés dans la promotion des artistes. S'il ne reste plus à Lyon que quelques galeries référentielles, nous le devons à l'action de Damien Voutay. Pour résumer son attitude, d'un côté, il nie la valeur et l'existence de l'Ecole de Lyon, et de l'autre, il en vend la production à vil prix dans deux salles de ventes coupables, De Baecque et Bremens. Il est trop tard. Damien Voutay, partageant de fausses valeurs fondées sur des affabulations avec Denis Vaginay, tente de dissimuler sa fortune naissante en s'habillant de hardes vintage. Il triomphe en piétinant un cimetière qu'il contribua à remplir de ses multiples cadavres. S'il me fallait résumer la pensée et la méthode de Damien Voutay, je dirai qu'elle se situe plus près de celle de François Hollande que de celle d'un Georges Pompidou. Plus que jamais amis, soyez vigilants…