Dans le quotidien Le Progrès, Mathieu Viannay prend la parole au nom des Maîtres Cuisiniers de France…
Mathieu Viannay ne recule devant rien. Dans le genre effronté, prêt à tous les mensonges, il vaut son pesant de saindoux. Lui, qui demeure associé des terribles brakeurs que sont Joseph Viola et Christophe Marguin (Cricri Margoul, pour les gastronomes) prend la parole au nom de la qualité : « aucun cuisinier n’est à l’abri d’un souci avec un produit (tu l’as dit…). Aussi, il doit s’entourer de toutes les précautions : transformer des produits bruts de haute qualité, s’assurer de leur traçabilité (et les produits Brake dont on ne connaît pas l’origine ?). Mathieu Viannay serait-il paranoïaque ? A quoi reconnaît-t-on un paranoïaque ? Je vais vous le dire. A ce que, comme Mathieu Viannay : il est l’habitude de construire un raisonnement juste sur des hypothèses fausses… Mathieu Viannay est un manipulateur. Il attire le scandale. Souvenez-vous dans quelles mystérieuses conditions, il obtint par les bons services de Jean-François Mesplède, deux étoiles au Guide Michelin, alors qu’il avait à peine ouvert. Quelle forfanterie. Sous ses grands airs de donneur de leçons, Mathieu Viannay est un curieux individu. Pas vraiment un bon exemple pour les jeunes cuisiniers. Tout comme Joseph Viola, qui ne peut nier avoir touché un très gros chèque de la Société Brake France, et qui ose affirmer : « la première étape de la démarche d’un Maître Cuisinier consiste à sélectionner les meilleurs produits et à rechercher constamment la perfection. » Silence Monsieur Joseph. Taisez-vous ! Même la main dans le sac, les doigts dans le pot de confiture, vous jouez encore les innocents. Attitude scandaleuse. Vous feriez mieux de tenir votre nouvelle maison, l’ancienne Mâchonnerie qui a très mauvaise presse auprès des gastronomes. Le bruit court qu’on y mange fort mal, et depuis l’ouverture. Quel sinistre chœur de menteurs : Viannay et Viola. Par contre, le principe de l’association des Maîtres Cuisiniers, présidée par Christian Têtedoie, me semble infiniment respectable, à condition qu’elle se tienne éloignée des patrons de l’agro-alimentaire. Voyez-vous, mon combat contre les rois du surgelé était justifié. Sa légitimé fut confirmée par le scandale de la « viande de cheval roumain » retrouvée dans les lasagnes de chez Picard, Findus, etc. Chaque jour dans ce domaine, un nouveau scandale éclate. Alors Mrs Viannay et Viola, ayez la décence de vous taire !...