Des lendemains qui chantent, un inutile film de propagande...
Le pire du cinéma français. Un film sur la pseudo génération Mitterrand par Nicolas Castro. Mal éclairé. Mal scénarisé. Mal joué, et même, pas joué du tout. Le film à ne pas voir. Le film qui n'intéressera pas les nouvelles générations, malgré la présence de Ramzi Bedia, le cousin d'Iznogood, de Laetitia Casta, de Pio Marmai. Il n'y a pas de génération Mitterrand. Ou alors, elle serait la génération victime de tous les mensonges, de toutes les dissimulations, de toutes les manipulations. François Mitterrand était un traître politicard qui n'a cessé de tricher avec la France, avec les Français. Comment, oublier qu'il fit le voyage pour Vichy, réclamant la francisque au maréchal Pétain ? Comment ? Comment, oublier qu'il protégea le collaborationniste notoire, son ami, René Bousquet, jusqu'au jour de son assassinat ? Comment ? Comment, oublier De Grossouvre se faisant sauter la cervelle dans son bureau de l'Elysée, après avoir appris sa répudiation par Mitterrand qui lui devait tout, ou presque. Comment ? Comment, oublier le suicide de Pierre Bérégovoy ? Mitterrand n'en était peut-être pas responsable, et encore. Comment ? Comment, oublier la mort de Roger-Patrick Pelat, après son ignoble délit d'initié ? Comment ? Comment, oublier le faux attentat, dit de l'Observatoire, fomenté par Mitterrand contre lui-même, pour regagner l'intérêt de quelques électeurs ? Comment ? Comment être fier de toutes ces malversations politichiennes ? Qui nierait qu'aujourd'hui, les Français et les Françaises, ceux-là même qui appartiennent à la pseudo génération Mitterrand, vivent la dure rigueur des débuts d'une inéluctable récession ? Qui ? Ramzi, peut-être ? Nous ne voulons pas entendre les arguments chafouins, d'un acteur inculte, dont les rôles sont dérisoires. Même, Hollande tartandouille n'ose pas se recommander de l'infâme Mitterrand. Cessons de jouer dans l'ambiguïté. L'infamie permanente de Mitterrand ne peut être présentée comme un exemple à personne, tout comme le bling bling de Sarkozy, ou l'absurde entêtement de Tartandouille. Abandonnons ce passé abject et contraignant. L'héritage visible de Mitterrand, le seul, c'est l'Euro, notre ruine... Alors, le changement n'est pas pour maintenant, demain peut-être...