Des priseurs font main basse sur l’atelier du peintre, Jacques Truphémus, avec le soutien d’une journaliste du Progrès, Françoise Monnet…
Comment, en est-on arrivé là ? Qui, a donné le droit à des priseurs avides de briser la réputation, et la cote d’un artiste, aussi important pour l’école lyonnaise que Jacques Truphémus ? Est-ce son neveu, et, unique héritier, Thierry Lorentz ? Celui-ci fut-il mal conseillé ? Sorte de bulldozer du journalisme, Françoise Monnet, écrit à la lyonnaise pour défendre les priseurs. Elle déclare naïvement : « S’offrir un Truphémus dans son salon, pour quelques centaines d’euros ? » Propos mensongers et trompeurs de la part de ce plumitif exalté, car, nous savons bien que les œuvres qui partiront les premières seront les moins chères, leurs mises à prix seront triplés, voir plus. Mais, les plus grandes trouveront-elles un acheteur ? Pas certain. Cette vente fera donc le bonheur des nantis. J’entends dire qu’Olivier Houg, habitué à toutes les tractations, préparerait un vilain coup avec des amis investisseurs, pour acheter une partie importante de la vente. Qu’en est-il ? Nous savons qu’Olivier Houg est prêt à toutes les éventualités. N’oublions pas de quelle façon, il fut évincé de l’étude de Me Etienne De Baecque pour être remplacé par un clone, Damien Voutay. Un Dupont succédait à un autre Dupont. Houg et Voutay, même combat, pour l’amour du picaillon. L’argent salit tous ceux qui le touchent. Autre mauvaise information de la part de Françoise Monnet qui n’a jamais su mener une enquête avec sérieux. Il ne s’agit pas de la dispersion de l’atelier de Jacques Truphémus, mais, d’une toute petite partie. Voici bien ce qui nous inquiète. Jacques Truphémus passa sa vie à peindre, et à dessiner. Je pose la question à son héritier, Thierry Lorentz, où, sont passés les milliers de dessins qu’il composa, au long d’une vie d’amour et de labeur, où sont, les centaines de toiles invendues, depuis ses débuts très difficiles. Les priseurs avides montrèrent un profond irrespect pour les orientations puristes, d’un peintre solitaire qui ne quittait le silence de son atelier que pour satisfaire son modeste appétit d’un repas léger pris au Café Bellecour. Mes amis, soyez vigilants !...