Donald Trump et Elizabeth Warren, une vieille rancune…
Les démocrates américains n’ont jamais avalé la défaite cuisante d’Hillary Clinton. Nous n’avons pas oublié l’image ridicule de l’épouse cocue de Bill Clinton, affalée au bout d’un tapis rouge, incapable de marcher seule jusqu’à sa voiture. Dès lors, la victoire de Donald Trump était imparable. Ce fut un triomphe ! Ni Clinton, ni Obama ne furent capables de redonner de la vigueur à l’économie américaine. Le chômage ne fit que croître. Obama était nullissime en la matière. Il fallait être un pitre, comme François Hollande, pour aller s’aplatir, abjectement, devant lui. Donald Trump a redonné à l’économie américaine l’énergie dont elle avait besoin, ce qui décupla l’ardeur du camp démocrate à lui nuire, par des centaines de reportages négatifs dans les journaux, les radios, et les chaînes de télévision. Bien entendu, la France de gauche et sa presse vendue n’ont pas cessé de relayer ces informations délatrices. Elizabeth Warren profite de l’affaire Joe Biden (où Joe Biden et son fils sont impliqués dans une sale histoire de trafic d’influence et d’argent, en Ukraine et en Chine) pour demander la destitution de Trump. Heureusement, Donald Trump a réussi son pari économique. Aux Etats-Unis, le chômage est au plus bas. Ses chances de réélection sont immenses. Alors, tout est bon pour le détruire. La guerre entre Warren et Trump remonte à quelques années, où, stupidement, Warren avait déclaré avoir du sang amérindien. Une polémique avait éclaté à ce sujet, qui mettait à jour la présence d’un ancêtre amérindien sept à huit générations, auparavant. Donald Trump, comme à son habitude, avait ironisé. Depuis, une lutte sans merci oppose Warren et Trump, ce qui explique la procédure engagée par la future candidate à la présidence des Etats-Unis. Elizabeth Warren, et les démocrates déconfits offrent un spectacle ridicule, soutenus par la presse de gauche toujours en quête de calomnies juteuses. Amis, soyons vigilants.