Equipe de France de football, la fin d'une supercherie...
Depuis sa qualification en « rattrapage » devant l'Ukraine, l'équipe de France de football, entraînée par un filou, Didier Deschamps, et soutenue par les délires d'une presse nourrie de l'amour des scandales, joua le minable scénario fourbi par des affabulateurs. L'équipe n'était pas assez solid pour gagner quoi que ce soit, et surtout pas, une finale coupe du monde au Brésil. Elle avait pourtant vaincu quelques obstacles en son sein. Il fallait éliminer des résidus violents, reflet infect de la part la plus sordide de la société française. Samir Nashri, écarté par Didier Deschamps, dont l'épouse tweeta des insultes ordurières, à propos de Didier Deschamps. Autre chance, pour le football français, Ribéry développa une douleur dans le dos. On entretint un désagréable suspens, avant de l'abandonner, pour monter dans un avion, dans une mise en scène extravagante et déplacée. Le mensonge s'installait avant la rencontre contre le Honduras. Quelle clownerie ce France-Honduras, match gagné par un score de trois à zéro, sur une équipe de guiboles en bois, qui confirma les craintes des observateurs avisés. Malgré de très trompeuses apparences, la France était trop faible, elle s'effondrerait, dès qu'elle serait opposée à un adversaire structuré en attaque, comme en défense. Face à la Suisse, Karim Benzema, le protégé de Zinedine Zidane, avec ses cannes de poulet famélique, pendant les entraînements installa stratégiquement, un dialogue avec le jeune Antoine Griezmann. Il est futé le garçon ! Au fait, pourquoi Karim Benzema ne chante-t-il jamais l'hymne républicain ? Naïf Griezmann. Cette entente sera décisive sur le terrain, Benzema et Greezman se font des passes, et Karim Benzema marque des buts, contre des goals inexistants. Cet accord nuit à la réputation d'Olivier Giroud, qui perdit sa place dans l'équipe. Olivier Giroud d'une violence indéfendable qui envoya d'un coup de pied incontrôlé dans la tête, un joueur suisse à l'hôpital, avec une fracture au visage. Je ne vous dis rien, des incalculables coups de coudes d'Olivier Giroud, démonstration d'une impardonnable brutalité, indigne de l'esprit français. La farce footballistique continua. Jamais, on ne vit une équipe de Suisse aussi pitoyable. Dans la première mi-temps, ils franchirent deux fois la ligne médiane. Par contre, ils marquèrent deux buts dans les quinze dernières minutes, preuve de la faiblesse du gardien français, Hugo Lloris. L'équateur fut un opposant plus vigilant, surtout par la présence de son gardien de but, et la France n'obtint qu'un très laborieux match nul. Très nul. Le pire paraissait à l'horizon. Il fut démenti, quelques jours plus tard contre le Nigéria. Le Nigeria, pas de quoi casser quatre pattes à un canard. Les champions d'Afrique ne présentaient aucun danger. La victoire française démontrait toujours les mêmes insuffisances, mais les médias menteurs entretenaient le mythe de la gloire des joueurs de Didier Deschamps, de leurs miraculeux mérites. Pourtant, les esprits avisés relevaient de plus en plus la faiblesse des équipes rencontrées par les amis de Karim Benzema. Olivier Giroud et Karim Benzema peinaient à masquer leur haine grandissante. Après sa défaite attendue, l'équipe de France doit faire ses bagages. Fin d'un très long mensonge à la Hollande Tartandouille. Pourquoi cette mise en scène. On prend les Français pour des nouilles, avec incontestablement de bonnes raisons. Sont-ils incapables d'admettre des vérités ? Reconstruire une équipe n'est pas un pari aisé. Le résultat est lojn d'être parfait. Ainsi, pourquoi Didier Deschamps n'a-t-il pas fait entrer sur le terrain le jeune Lucas Digne, contre l'Allemagne ? Ses offensives permanentes et saillantes auraient posé de nombreux problèmes aux Allemands. Pourquoi, avoir maintenu Mamadou Sakho, blessé depuis trois matchs ? Pourquoi ? Lucas Digne et Antoine Griezmann représentent l'avenir de l'équipe de France, pas Mamadou Sakho. Les décisions de Didier Deschamps sont entachées de questionnements inquiétants. L'avenir du football français ne sera pas simple d'ici la Coupe d'Europe de 2016. Un bonheur. Cette défaite interdit tout effet de gloriole, pour le président Hollande Tartandouille, toujours prêt à toutes les tartarinades, comme son premier ministre, Manuel Valls-Iznogoud...