Erick Roux de Bézieux, le cheval qu’il ne faut pas jouer !
Dans une course de chevaux, c’est le bourrin qui chute au premier obstacle. Celui qui passe souvent la ligne d’arrivée en dernière position. Chez les turfistes, il fait rire, on appelle cela un ultra-derrière. Car, de ses camarades de course, il ne voit que la croupe. Tous ceux qui firent appel à ses services de politicien malchanceux rencontrèrent les pires déboires à commencer par le dernier en date, Michel Havard, qu’il réussit à dégoûter de la vie politique. Ami de tous les infréquentables pisse-copies Engelhard, Angel, et consors, il renifle dans tous les coins, pas toujours les mieux odorants, non sans raison, en quête de savoureux tuyaux. Si, vous souhaitez perdre une élection, une seule adresse. Né, sans le moindre humour, il voudrait faire rire. Il écrit des pièces de théâtre ridicules avec son ami des Potins d’Angèle. C’est la définition même de la sottise inhumaine, de l’outrecuidance. Au théâtre, on prétend qu’il faut marcher dedans ! Opportuniste, il cherche à se placer depuis des années faisant la fortune de ses semblables, les guignards des écuries de tocards. N’inscrivez jamais son numéro de casaque sur votre ticket. Habitué des pires connivences, il cherche un poste d’élue pour son épouse, bien qu’Etienne Blanc, l’authentique candidat républicain, résiste encore à ses exigences. Amis, soyez très vigilants !