François Bayrou éternel croquemitaine « politichien »
François Bayrou a de jour en jour et de plus en plus, la tête de son coupable emploi de traître conspué en toutes circonstances. Il ne recule devant aucune ignominie. La presse enfumée ne trouvait pas d'interlocuteur pour Bruno Poncet, dangereux secrétaire fédéral de Sud Rail, syndicat dont nous connnaissons tous la pitoyable inconséquence. De tels individus travaillent inlassablement pour le déclin de la France, en perpétuant une grève incompréhensible, parce que totalement injuste. Les plus pénalisés, outre notre économie qui s'enfonce dans le déclin, ce sont les humbles, les malheureux anonymes contraints de prendre un moyen de transport quotidiennement. François « Bailleroux » s'en fout comme de sa première barboteuse. Avez-vous oublié que Bayrou fut ministre de la justice pour Emmanuel Macron et son complice Gérard Collomb? Avez-vous oublié qu'il fut contraint à la démission honteuse comme celle de son agressive camararade Marielle de Sarnez? Avez-vous oublié que ce maire de Pau grâce à la traîtrise d'Alain Juppé, devra passer devant un juge au début de l'an prochain pour avoir méprisé et calomnié par deux fois une association caritative? Je vous demande comment un tel individu peut encore être sollicité par la presse? Pourquoi? Parce que cette presse est indigne dans son ensemble. Tous roués. On ne peut en sauver un seul. Voici la juste définition de la presse française actuelle. Heureusement, la grève insupportable des cheminots finit par dégoûter les usagés des transports et tout ceux qui sont affectés par cet ignoble chantage, et pariculièrement ceux qui attendent la livraison de marchandise essentielle à leur fonctionnement. Tout comme il faut exclure les nazis du Front national et les kapos du Parti communiste, il faut priver d'antenne les représentants, les forcenés de Sud Rail. En acceptant de dialoguer avec ces derniers François Bayrou se fait leur complice. Une fois encore, il est incrédible. Chaque jour de grève coûte 20 millions d'euros à la France, donc, 100 millions depuis son début. L'heure est très grave. Notre pays crève. De l'inacceptable pression des innombrables jours de congés scolaires. Trop, c'est trop! Et voici cette grève qui achève de creuser nos déficits et nos dettes. Combien faudra-t-il emprunter encore pour sauvegarder notre économie? Comme toujours nous entendons tout et son contraire. Soyons vigilants et luttons pour que cette grève cesse dans les plus brefs délais. Finissons sur une bonne nouvelle : Cécile Duflot met fin à sa carrière politique d'avaleuse de couleuvres patentée. Quand apprendrons-nous le départ de Rachida Dati ou la démission de son emploi à la télévision de Roselyne Bachelot (ne pas prononcer Bachelote).