La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

François Fillon était à Lyon, pour soutenir le candidat à la direction de la mairie de Lyon, Michel Havard...

Vendredi, 6 Septembre, 2013 - 08:15

François Fillion va au bout de son engagement, dans le journal Le Progrès...

François Fillon ne retient pas ses mots. Fait unique, dans l'histoire de cette élection, un ancien premier ministre qui sera sur la ligne de départ, pour la future nomination du président de la République française, affirme le souhait de voir le maire actuel défait. Le socialiste, Gérard Collomb qui attend depuis longtemps une désignation à un poste de ministre dans un gouvernement hollandouillesque (certainement pas la Culture, il en serait incapable) sera éliminé du champ politique, selon François Fillon. François Fillon va plus loin, il déclare à Geoffrey Mercier, dans le journal Le Progrès : « Gérard Collomb ne pourra pas échapper au vote sanction ». Le contraire serait étonnant. En effet, la France rejette massivement, les décisions du président Hollande Tartandouille. Le peuple français le désavoue largement. Il y a de quoi. Chaque semaine, Hollande Tartandouille commet deux ou trois balourdises. Les dernières en date concernent la Syrie. Après avoir voulu « punir » le président syrien, alors qu'il est incapable de ramener la paix dans la ville de Marseille, comme ses ministres Christiane Taubira et Manuel Valls, Hollande Tartandouille poursuit ses velléités de guerrier, gendarme du monde. François Fillon, dans cette tragique situation, fut le premier homme politique français a rejeter fermement sur France 2, l'idée d'un engagement de la France, en Syrie. La sottise de la semaine de Tartandouille est sa décision de convaincre des hommes d'Etat pendant l'actuel G20. Son ridicule est une fois encore infini. Vladimir Poutine lui a infligé un camouflet, à Moscou, dès son arrivée au G20. Les plus hautes autorités européennes suivent Vladimir Poutine et s'opposent aux décisions d'Hollande Tartandouille. Il faut savoir qu'il ne peut engager notre pays dans la guerre, sans l'accord du Conseil de l'Europe. Une loi l'interdit formellement. La France appartient à l'Europe, seul Tartandouille semble l'avoir oublié. Il faut redire qu'Hollande Tartandouille ne respecte rien, et d'ailleurs, plus personne ne le respecte. En France, la fiscalité atteint des sommets, nous dit François Fillon. A Lyon aussi, les impôts vont augmenter sérieusement, Gérard Collomb l'annonce imprudemment. Mais, il devra inévitablement payer les énormes factures de ses travaux titanesques. François Fillon est un homme audacieux, déterminé, certainement exemplaire. Il n'a pas choisi par hasard de soutenir Michel Havard parti à l'assaut de l'Hôtel-de-Ville de Lyon, la fleur au fusil, vaillant et déterminé à changer les méthodes de gestion de la ville de Lyon. De plus en plus de Lyonnais et de Lyonnaises, à droite comme à gauche, attendent avec impatience de passer de l'autocratie collombienne à une véritable démocratie républicaine...