François Hollande accentue le naufrage de la France...
Plus de 12000 chômeurs dans notre pays, au mois de février 2015. Qui en porte la responsabilité ? Le sombre pingouin des banquises abandonnées, bien entendu. François Hollande fait peur. Dès qu'il apparaît. Tout le monde s'enfuit. Il paraît qu'il a l'esprit dominateur, lorsqu'il s'installe (trop rarement) dans son bureau de l'Elysée. Il n'y a que les djihadistes qui n'ont pas peur du nabot bleu marine. Il dirige un gouvernement de « petits ». Michel Sapin (petit et rond), Bernard Cazeneuve (petit et petit), Jean-Yves Le Drian (petit et chauve), Manuel Valls (petit et espagnol), etc. Comment, voulez-vous que cette politique ait de la grandeur ? Michel Sapin a craqué. Ce mois-ci, il n'a pas réussi à truquer les chiffres du chômage à l'avantage de son parti. Les élections départementales qui sont le résultat d'un découpage-bidouillage épouvantable, révèlent la déconfiture de François Hollande et de ses sbires socialistes. Les verts n'en parlons plus. Dans les urnes, pour les Français, ils sont inexistants. Tout comme, le Parti Communiste de Pierre Laurent. Seul, Jean-Luc Mélanchon (qui faisait l'admiration de l'immonde Mitterrand) avec 5% des voix, parvient à sauver la face. Hollande lui proposera-t-il de grimper dans le fauteuil de Premier ministre ? A la lecture des résultats de dimanche dernier, il le mérite plus que Manuel Valls. Et puis, on se marrerait encore un peu plus, de voir ces épiciers-gauchos vendre leur soupe indigeste, aux Français et aux Françaises. Quel spectacle, depuis l'élection d'Hollande ! Le ticket d'entrée était horriblement coûteux, mais alors, aux premières loges, on se bidonne du matin au soir, et par n'importe quel temps, et tous les jours de la semaine. Pas un dimanche, pour ces excités socialos. Le travail le dimanche, pour les autres ? Ils ne sont pas très favorables. Mais, alors eux... On voudrait bien qu'ils nous fichent la paix, en fin de semaine... D'ailleurs, Hollande use tout le monde. Vous, c'est évident... Mais aussi, ses porte-parole : Ségolène Royal, la décatie, et Stéphane Le Foll, le désabusé, qu'il cuisine à toutes les sauces. La tronche de Ségolène ? Vous l'avez vue ? Elle est défaite à l'extrême. Affirmation, reniement, démenti, etc. Elle n'en peut plus. Et, la binette de Stéphane Le Foll, le soir du premier tour des élections départementales. Asphyxié aux barbituriques qu'il était le faux agriculteur. Il sortait du pieu, les cheveux en bataille, la larme à l'oeil. Un guignol déconfit, lamentable. Au soir, du second tour des élections départementales, la débandade sera terrible pour les socialos et leurs ultimes amis. Hollande, lui, carrément, il se tire. Il part en Tunisie, pour, comme le disait le général de Gaulle : Inaugurer les chrysanthèmes... Hollande est très fort dans cette fonction. Elle résume toute son action. Toujours rien, pour les chômeurs, et pour les salaires (si, dans de rares entreprises, 0,04% d'augmentation. Quelle blague). Il n'y a pas de redémarrage de notre économie. Un mensonge de plus, pour Hollande et Valls qui persévèrent à prendre leurs concitoyens pour des minables, et, dont les sourires s'estompent pour devenir d'horribles grimaces. Courage mes amis. La pantomime socialiste n'est pas encore finie. Le jour viendra, le jour viendra, comme chantait l'admirable, Jean-Roger Caussimon...