François Hollande, et les Le Pen, nous prennent pour des poires…
Au soir du second tour des élections départementales, un élément de la presse vendue à n’importe quel pouvoir, déclara à la télévision : Ce qui manque au Front National ce sont les reports d’un autre parti… » Tu l’as dit bouffi, aurait pu s’écrier, le regretté Pierre Desproges. La question ne tomba pas dans l’oreille d’une sourde. Mais, quelle solution pour Marine Le Pen ? Avec qui s’allier ? Personne ne veut s’aliéner le Front National, et heureusement… Alors, comment faire ? Et, si on leur faisait le coup de la désunion entre Jean-Marie et Marine. Les Français sont des veaux, ils ne verront rien… Pensèrent-ils… Et, de mettre en place cette mise en scène grotesque et indigne, à laquelle, se prêtèrent tous les caciques. Florian Philippot allant jusqu’à l’acceptation des pires injures, de la part du pachydermique Jean-Marie. Traité de mignon par Le Pen, il avala l’injure, comme tous les politicards ayant appris à déglutir les plus grosses couleuvres. Ils nous prennent vraiment pour des imbéciles. Ils gesticulèrent. On va destituer Jean-Marie Le Pen, le déchoir de son titre de président d’honneur, le radier à vie, le renier, etc. Et, quelques jours plus tard, voici le Jean-Marie goguenard qui déclare former un nouveau parti. De qui se moque, cette bande de guignolos ? De nous !... Avec ce nouveau parti, Le Pen père rassemblera les plus extrémistes, les plus fascistes des électeurs du Front national. Pendant ce temps, Marine Le Pen et Florian Philippot tenteront une progression vers les déçus de la gauche, et les nostalgiques d’une droite forte. Et ben voilà !... Ils ont trouvé une solution au report de voix. Et, la presse inutilement bavarde, pourrira la situation, dans l’objectif de permettre la réélection du sombre pingouin élyséen. Cet animal qui ressemble à un oiseau, mais, reste désespérément collé au sol de sa banquise, joue les présidents voltigeurs. Il voyage. L’Elysée est vide. La France n’est plus gouvernée. La situation en France, votre situation, Hollande continue à s’en foutre. Mais alors, complètement. Il préfère se tourner vers les Caraïbes. Il va chercher des leçons chez Fidel Castro qu’il insultait encore, en 2003. Ses conseillers cupides multiplient les informations fausses à propos des relations entre Fidel Castro et Che Guevara. Non ! Che Guevara n’était plus l’ami de Fidel Castro. Il a quitté Cuba, fâché à mort, pour trouver en Bolivie, une destinée cruelle, dont Fidel Castro tira son parti… La place était libre. Castro pouvait faire régner son ordre tyrannique. Méfions-nous. Tout est faux dans les propos manipulateurs de François Hollande !... Courage et vigilance… Encore deux ans à tenir…