François Hollande, le balourd pingouin délaisse sa banquise, pour les soleils polynésiens...
Chaque jour, une partie de la population française descend dans la rue. Et, les prix des produits de première consommation ne cessent d'augmenter. Un jour, ce sont les agriculteurs, après les taxis, qui bloquent les autoroutes. D'ailleurs, ils viennent de s'inviter dans le jardin de leur ministre, Stéphane Le Foll. Vivement interpelé, le ministre de la Défense, président cumulard de la région Bretagne, n'a pas souhaité les entendre. Il a démontré son mépris et sa lâcheté. Nous ne sommes pas étonnés. Pendant ce temps-là, François Hollande, bouffi d'orgueil, le pustule en goguette, se faisait enfiler des colliers de fleurs. Ridicule ! Qu'il avoue un besoin de prendre du repos, pourquoi pas, mais, qu'il aille réveiller les vieux débats, à propos des conséquences des essais nucléaires dans le Pacifique, est une fois encore, l'intolérable attitude d'un politicard socialiste aux abois, qui ne veut pas l'apaisement social, mais, la guerre civile. François Hollande manœuvre. Il oppose les Français du Pacifique aux métropolitains. Minable ! Une fois encore, Mr Bricolage est en action. Toujours avec les mauvais outils. Alors qu'il publie, par l'intermédiaire de son ministre du Travail, et de son premier ministre, un plan de réforme du Code du Travail qui révolte tous les syndicats, le voici, avalant dans des coquillages sordides des boissons illicites, tout en réveillant niaisement d'anciens litiges. Ah ! Il en faisait une tête notre pingouin ! Au fait, où, est sa pingouine ? Les Français, et les Françaises ruinés sous les impôts, perçoivent bien les magouillages de François Hollande. Après la déculottée de sa conférence de presse, suite à un remaniement hâtif, notre pingouinal François fut moqué par toute la presse. Quel insoutenable échec ! Vengeur, il lui fallait détourner l'attention du peuple. Le voici qui exhibe son alibi favori, qui présidait la veille avec succès les assises de son parti, Nicolas Sarkozy. Hollande le traîne devant sa justice, et obtient, contre l'avis de deux juges sur trois, la mise en examen de son adversaire. Quel spectacle ! On se croirait revenu en Allemagne de l'Est, ou, à Cuba, lorsqu'on déférait les dissidents politiques devant une justice expéditive. En attendant que François Hollande déglutisse ses boissons étranges qui lui donnent un vilain teint boutonneux, les agriculteurs français crèvent de faim, sans parvenir à obtenir un accord sur leur principale revendication, l'augmentation du prix d'achat du lait par les grandes surfaces... Hollande ne cèdera rien. La douleur des paysans, il s'en fiche. Il attend une augmentation de la croissance économique mondiale, pour prétendre à un nouveau mandat, surtout, depuis que les primaires socialistes sont inévitables.