François Hollande, un président normalement ridicule…
De plus en plus, chaque jour, il s’enfonce dans la sottise. Sottise et socialisme, ces deux mots commencent par la même syllabe. Quelle tête, sur la photo officielle, le François. Béat ! Bloqué ! Une marionnette tétanisée ! Depardon ? Pourquoi choisir Raymond Depardon quand on veut échapper au snobisme ? Dans un certain milieu, il est de bon ton d’apprécier le vide photographique qui qualifie désormais les photos de Raymond la Calade. Raymond Depardon était une sorte de Schpountz de l’univers photographique. Un naïf qui voulait apparaître clairvoyant. Un homme bien dans son époque. Pas étonnant qu’il ait fini par la symboliser, par l’incarner. Raymond Depardon avait commencé par photographier les gens qui l’environnaient, c’est-à-dire sa famille, des paysans pauvres, des fermes, de l’humilité, du dénuement, même… Et puis, il s’est enhardi. Il a joué les grands reporters, mais, n’est pas Cartier-Bresson qui veut… Aujourd’hui, il guette aux carrefours des villes les faux événements de notre époque. Cette œuvre est un reflet. Il ne se passe rien. Raymond Depardon nous renvoie l’image d’un échec. Celui d’un système politique où la gauche porte une part de responsabilité au moins aussi importante que la droite. C’est fantastique. Inspiré par le même concept, Raymond a fait poser François devant l’Elysée. C’est-à-dire rien, comme dans ses photos, comme devant une usine désaffectée, une station d’essence délabrée. Rien. Rien, non rien de rien. Hollande qui veut être rien d’autre que normal, devient par l’effet Depardon, anormalement rien. C’est sublime. D’ailleurs, les journalistes de Libération ont clamé leur admiration, leur fascination. C’est divin. Ils ont cherché des mots pour dire l’écartement des doigts des mains qui fuient la couture du pantalon. C’est magnifique. Et ce visage fermé, buté ? Quelle beauté ! Qu’a t’il vu notre Françoué, pour être dans un semblable état ? Hollande lit peut-être l’avenir, maintenant qu’il est président ? Moi, président, répétait-il… Translucide, peut-être qu’il voit nos malheurs en route ? Pour qualifier Hollande, un ami à moi, un caladois dirait : « le pauv’ François, il a l’air bécasson… » Amis, attendez-vous au pire, et restez vigilants…