François Rebsamen, en chef de file des menteurs hollandais et tartandouilleurs...
François Rebsamen est un apparatchik redoutable. Sénateur de la Côte d'Or, au sein du Parti Socialiste, il fait partie des pilotes du bulldozer idéologique qui tente d'écraser la France et les Français. Il fallait le voir dans Bibliothèque Médicis, interrogé par Elkabbach, âme manipulatrice cachée derrière son sourire de carnassier, aux dents jaunies par l'excès de tabac, séducteur pour mémères porteuses du bon bulletin de vote, tenter d'aplanir en les entérinant, les orientations du père Hollande Tartandouille. Mais, la boîte à outils d'Hollande est vide, ou plutôt, elle ne contient que des outils de torture : des pinces à prélever les impôts, des marteaux pour vous enfoncer dans le crâne des mensonges énormes, des clous pour vous coller au pilori des plus infâmes manipulations, etc. Les arguments de Rebsamen sont bien minces, alors, il sourit. La vie est belle. Il pourrait chanter « Ça ira mieux demain » en vieux crooner socialiste. Que pensent de cette version les employés d'Arcelor, et ceux de Pétroplus ? Tous cocus de la République hollandiste. Chaque jour en France, près de 1500 à 2000 chomeurs de plus. Hollande ne pourra jamais renverser la mécanique broyeuse d'emplois. Alors, que pèsent les 1000 emplois dans l'Education Nationale prévus par Vincent Peillon ? Hélas, vraiment pas grand chose. Des promesses toujours, et encore... Et le gros père Tartandouille-Mollande qui se précipite à l'aéroport pour accueillir cette malheureuse famille d'otages qu'il a laissée deux mois prisonnière des rebelles en Afrique, sans même du pain sec, et surtout sans eau, avec des enfants. Pépère Tartandouille-Mollande est responsable de la faim et de la soif de quatre enfants, pendant d'interminables semaines. Et ce couillon de Fabius, roi de la bidouille, qu'on voit surgir alors qu'il n'avait aucun moyen d'agir. Fabius qui a menti sur sa déclaration de fortune personnelle. Il a oublié de déclarer ses toiles de maîtres, et spécialement ses Claude Monet achetés à la galerie de Katia Granoff (valeur, des millions d'euros). Le gouvernement français n'est pour rien dans le libération des otages. Il s'agit d'une très basse récupération, d'une dégradante opération de communication. Ce sont les administrateurs de GDF-SUEZ qui ont excellemment manoeuvré, pour tirer de cette ornière un de leurs amis. Bravo à eux !... Et, la Trierweiler qui trottinait derrière le gros derrière du Françoué. Comme, on se marre! Et Mollande, se précipitant vers les femmes et les enfants, pour les réchauffer. Quelle blague médiatique! Et les journalistes des grands médias qui se font les complices de ces scandaleux subterfuges. J'ai honte pour Nabila Tabouri, Jacques Wittenberg, et tous les autres. Honte sur toi, François la grimace, pignouf d'andouille. Ce qui était tristement lamentable, dans Bibliothèque Médicis, c'était de voir Gilles Carrez, député UMP, adopter les opinions de François Rebsamen. On dirait que ce parti n'est pas prêt à prendre le pouvoir, en cas de démission de François Hollande. Ne serait-il pas assez structuré ? Les menaces pesant sur Sarkozy sont-elles encore trop lourdes ? Déplorable image du monde politique et de l'opposition gouvernementale, offerte aux français, par Gilles Carrez... Les apparatchiks sont toujours redoutables qu'ils soient de gauche ou de droite !...