Frédérick Gersal, faux historien, vrai commerçant...
Frédérick Gersal fait dans l'à peu près, pas depuis hier, non, depuis des années. Spécialiste de l'histoire pour le peuple, il dispose pour son petit commerce d'une vitrine redoutablement efficace, celle de Télématin, où il singe la vérité historique, par la volonté de son, de plus en plus vieil ami, William Leymergie. De la télé bien française, à la Bokassa. De la Télé de République bananière. Leymergie est présentateur à vie. J' y suis. J'y reste. Pour se débarrasser de nos présidents, les Français inventèrent le quinquennat. On n'a pas trouvé le moyen de virer le William, et ses vieux potes. Rien. Le choléra, un jour, peut-être ? Indécrottable, mais pas inoxydable. Il radote le William, il s'épuise. Qui aura le courage de lui montrer la porte ? François Hollande Tartandouille peut-être ? Pour être embauché sur Télématin ? Soyez vieux ou vieille, car, parmi les nénettes, sur Télématin, il y en a de bien croulantes. Quelle triste image de l'historien, ce malheureux Gersal. Il nous fait depuis des temps, hélas, immémoriaux, le coup du noeud papillon. Pauvre ami, c'est bien peu de chose. Son nœud papillon n'a pas la moindre noblesse. Il s'agit plutôt d'un accessoire de clown. Oui ! Frédérick Gersal est le clown des historiens. Il fait rire, avec des drames, des tragédies. Un rien l'amuse. Il déforme. Il recompose. Il tricote. Il édulcore. Il faut que ses errances passent la barre de l'infernale écoute. Il rit de ses blagues, avant que la ménagère de 50 ans n'en pleure, dans sa cuisine en kit. FrédérickGersal est un historien en kit, et même, en kilt. Rien ne l'arrête. Tout l'amuse. On l'a vu cirer les pompes de Ségolène Royal, comme elle, c'est un faux poitevin, un faux historien. Gersal a tout faux. Il partira avec Leymergie. Peut-être, plus tôt qu'on ne le pense. Les plus sinistres épopées ont heureusement, une fin...