La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Georges Képénékian, et le scandale de la Fondation Bullukian...

Mercredi, 17 Septembre, 2014 - 09:48

Les arts à Lyon jetés dans la boue par Jean-Pierre Claveranne...

Pourquoi, un tel acharnement de la part de Jean-Pierre Claveranne ? Comment, Georges Képénékian qui fut introduit par le professeur Pierre Marion, dans le conseil d'administration de la Fondation Bullukian, a-t-il pu permettre le dépeçage des collections de Napoléon Bullukian ? Oui, comment ? Il n'est un secret pour personne que Georges Képénékian est arménien d'origine. Il avait toute sa place aux côtés de Pierre Marion, pour gérer la Fondation Bullukian. Je l'ai souvent croisé à La Malmaison, la demeure « sacrée » de Napoléon Bullukian, après la mort du grand mécène. On ne pouvait imaginer qu'il laisserait les mains libres à Jean-Pierre Claveranne. Quel mystère est caché ? Quels secrets sont dissimulés derrière une telle ignominie ? Napoléon Bullukian possédait des dizaines d'appartements. Que sont-ils devenus ? Sont-ils vendus ? Pourquoi cette braderie de l'histoire de l'art à Lyon. Qu'en est-il de la gestion de la Fondation Bullukian ? Que fait-on de tout cet argent ? Georges Képénékian doit être informé. Pourquoi n'a-t-il pas réagi ? La vente aux enchères organisée le 27 septembre prochain est un cataclysme pour l'univers de la peinture à Lyon. Un désastre organisé. Oui, mais pourquoi ? Pour éponger quelle épouvantable haine des peintres de Lyon ? Les plus célèbres : David Girin, Jean Couty, André Tajana, Jean Fusaro, René Chancrin, Maurice Montet, Théodore Lévigne, Maurice Ferréol, Henri-André Martin, etc, seront peut être achetés à des prix corrects. Et encore, j'en doute. Mais les autres. Tous les autres qui retinrent l'attention de Napoléon Bullukian, et des membres de la commission qui attribuait des prix aux meilleurs d'entre eux. Et les lits chinois ?Cette vente aux enchères publiques, le 27 septembre à 14h30, pour laquelle, on est allé chercher un priseur de Clermont-Ferrand, sera une gabegie. La peinture, la sculpture, les arts à Lyon seront bradés, méprisés... Adjoint à la culture de la ville de Lyon, premier adjoint de Gérard Collomb, Georges Képénékian avait le devoir d'empêcher cette catastrophe. Pourquoi n'est-il pas intervenu ? Les francs-maçons protègent-ils Jean-Pierre Claveranne ? Je n'ai rien contre eux, mais, dans l'affirmative, ils trahissent leur devoir de protecteurs des arts et des lettres. L'énigme est à ce jour totale. La responsabilité de Gérard Collomb est impliquée dans ce séisme à venir. Il faut intervenir par tous les moyens légaux, pour interdire cette exaction, qui en période de Crise économique portera un coup fatal à l'image des artistes lyonnais et régionaux. Bougez ! Je vous en prie. Agissez tout de suite. Décrochez votre téléphone. Interrogez vos amis. Le statut des artistes lyonnais et régionaux est en jeu. Unissons-nous, pour nous opposer à cet ignoble méfait !...