Georges Képénékian n’est-il qu’un alibi, le valet de Gérard Collomb ?...
Georges Képénékian ne représente rien, pas même la communauté arménienne. Georges Képénékian est le plus inculte des adjoints à la culture de la ville de Lyon, depuis l’arrivée d’Edouard Herriot au pouvoir. Il est grotesque. Le véritable responsable est Gérard Collomb qui l’a choisi pour son inculture crasse. Il savait qu’avec lui, il n’aurait pas à répondre à des exigences, car, Georges Képénékian est imperméable au savoir culturel. Quand il ne s’occupait que des Affaires culturelles, il avait démontré sa totale nullité. Depuis qu’il cumule la fonction de Premier adjoint, il explose son niveau d’incompétence. Comment, a-t-il pu déclarer dans le journal Le Progrès du 5 mai 2015, qu’un musée des arts à Lyon, n’était pas nécessaire, au contraire ? Comment, sinistre incapable ?... Et de rajouter, niaisement, que la peinture lyonnaise n’était jamais autant en valeur que lorsqu’elle était intégrée à l’Histoire globale. Georges Képénékian n’a pas trouvé cela tout seul. Cette analyse désastreuse fut le crédo d’un autre malfaisant, Philippe Durey, ex-conservateur du musée des beaux-arts de Lyon. Ce dernier, arriviste boulimique, détruisit la force de l’école lyonnaise aux yeux des nombreux visiteurs de notre musée, pendant, et après les grands travaux, en usant de cette formule inexacte et idiote. Il fut récompensé par un poste à la direction de l'école du Louvre. Il n’est pas étonnant que Georges Képénékian soit inspiré par de telles fadaises dangereuses. La vérité est heureusement bien différente. Tout au contraire, notre école lyonnaise est en France la plus importante, après Paris. Il n’y a qu’à étudier l’Histoire. Georges Képénékian a probablement trop à faire, chez son coiffeur, pour s’imprégner des informations nécessaires à la défense de notre aventure des arts plastiques. Il préfère couvrir la désastreuse dispersion des biens de la Fondation Napoléon et Léa Bullukian, par son président, Jean-Pierre Claveranne. Bien entendu, Georges Képénékian ignore la date décisive du 2 novembre 1807, où fut prise par Napoléon, la décision de relancer notre école de dessin, pour soutenir l’industrie florissante de la soierie lyonnaise. Des centaines d’artisans de haut niveau, formés, chaque année, à l’école des beaux-arts, nos Prix de Rome, nos respectables professeurs, comme : Tony Tollet, Antoine Chartres, et René Chancrin, etc, etc. Oui, Georges Képénékian est décidément un homme néfaste. Si, vous le rencontrez, détournez-vous de votre chemin…