Gérard Collomb, quêtant la présidence de la Métropole, abuse de la cérémonie des vœux, à la mairie du 6e...
Gérard Collomb, n'avait pas besoin de préparer son intervention. La naissance de la Métropole de Lyon, au 1er janvier 2015, occupe tous les esprits, lyonnais ou pas. Le maire de l'arrondissement, Pascal Blache, ne flagorna pas son invité, comme le firent trop souvent ses prédécesseurs : Mme Masia, et Jean-Jacques David. Beaucoup de dignité donc de la part de Pascal Blache. On ne peut combattre, pendant une élection municipale, un adversaire politique, et lui caresser l'échine (qui est plutôt souple, chez Gérard Collomb) quelques mois plus tard. Dans la salle, on voyait avec plaisir, Michel Havard, candidat battu par les voix traîtresses du Front National. Comme, pour l'élection de François Hollande, celle du représentant de Gérard Collomb dans le 5e arrondissement est une pantomime réglée par les disciples de Marine Le Pen. Gérard Collomb tirait la gueule en écoutant Pascal Blache. Il pensait à la Métropole. Gérard Collomb entreprit un discours de bateleur de foire. Il fit son panégyrique, comme à son habitude. Lyon avait besoin de grandir, déclara-t-il. Stupéfiant d'orgueil déplacé. Il oublia de dire qu'il avait fait de Lyon, par son incompétence, et avec le soutien du préfet Carenco, la capitale de l'intolérance fasciste, où s'organisent les congrès du Front National. Dans la salle, on apercevait la silhouette d'un lecteur de Minute qui dirige un torchon satirique. Un grand absent, Marco de Lyon People. Comme Hollande, Gérard Collomb accabla les Lyonnais et les Lyonnaises d'impôts, avant de faire une pause, et de reprendre ce qu'il pourra dans les poches des contribuables locaux. Gérard Collomb devint tout à fait insupportable, lorsqu'il décida de donner à ses auditeurs des leçons de démocratie. Gérard Collomb est un politicard roué qui ne fonctionne que par abus de faiblesse. Avait-il marchandé avec Hollande, un poste ministériel, pour Michel Mercier, afin de faciliter ses tractations avec l'ancien président du Conseil Général, dans le cadre de l'élaboration de la Métropole ? Certains le pensent et le disent. Je n'hésite pas à l'écrire. Car, tout est magouille dans l'attitude de Gérard Collomb qui profita de la vieillesse d'un pauvre homme, Raymond Barre, pour devenir maire. Depuis, Gérard Collomb, satan navrant, pervertit les hommes politiques sans volonté, qui comme François-Noël Buffet, à Oullins, puis, plus récemment, Marc Grivel à Saint-Cyr au Mont d'Or, sont prêts à tout pour augmenter leur pouvoir. Marc Grivel, au Grand Lyon, en méprisant gravement la nature des suffrages de ses électeurs, révéla sa maîtrise de la plus inqualifiable grivèlerie. Gérard Collomb, roitelet de province, a encore besoin des élus du Centre et de la Droite, pour obtenir la présidence de la Métropole. Prêt à toutes les compromissions, Gérard Collomb, comme une fleur fanée, aux désirs de ses adversaires. Certains, comprennent enfin, qu'ils seront les chapons farcis de cette cuisine nauséabonde. Ils se révoltent. Collomb hausse le ton. Il est soutenu par le journal Le Progrès, où, des pigistes aux ordres avaient exposé la situation collombesque. On apprend que le Dr. Alain Mérieux figure parmi ses soutiens. Est-ce vrai ? Si oui, quelle triste image !... Parmi ses proches, on ne cite pas Georges Képénékian, complice de la sinistre vente illégale, organisée par la Fondation Bullukian, le 27 septembre dernier. A la fin, Gérard Collomb devant un parterre désarmé, lévitait complètement. Le ridicule était à son sommet. Oh ! le vilain délire, que cette marionnette, nous infligea ce 6 janvier 2015. Devant tant de suffisance, une voix s'éleva pour dire non. Devinez à qui elle appartenait. Pas moyen de se réconforter devant le buffet, il venait de la firme Casino. Il était sucré et gras, et porteur de tous les produits interdits, à ceux qui veulent rester en bonne santé. Toxique, comme les tractations de Gérard Collomb, en vue de son élection à la présidence de la Métropole de Lyon...