Guy Bedos, mort, passage surprenant à l'église Saint-Germain !...
Guy Bedos n'a jamais cessé de soutenir François Mitterrand. Position insoutenable. En effet, François Mitterrand comptait dans son cabinet ministériel, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, Jean-Paul Martin, un être tout à fait indigne, qui fut chargé par Pétain de certaines rafles du Vel' d'Hiv, avec la complicité de l'homme de Latché. Jamais Mitterrand n'a participé à un procès contre Jean-Paul Martin. Au contraire. On se souvient de Mitterrand prenant la défense de René Bousquet, antisémite notoire, justement assassiné, à quelques jours de son départ de l'Elysée. Guy Bedos n'a pas eu le courage de dénoncer les amitiés antisémites de François Mitterrand. Je le regrette profondément. Tout n'est pas possible, même, lorsqu'on se nomme, Guy Bedos. Ce respect pour François Mitterrand demeurera à jamais, comme une tache indélébile dans le parcours de l'humoriste, pourtant, souvent clairvoyant. Personne ne doit échapper à la hauteur de ses engagements !... François Mitterrand sera à jamais inqualifiable et indéfendable. Il a trop bénéficié de la complicité d'une presse qui n'a pas voulu faire connaître ses odieux mensonges, du pseudo attentat de l'Observatoire jusqu'à son soutien à René Bousquet. Amis, soyons vigilants !