Harlem Désir, jusqu’où le mèneront ses désirs…
Jean-Philippe, dit Harlem Désir était un malheureux, toujours situé à la seconde place dans les meilleures occasions. Le voici parvenu à la première place, non sans beaucoup de difficultés, mais enfin, le voici Premier secrétaire du Parti Socialiste. Harlem n’hésite jamais à se faire haïr pour parvenir à ses objectifs. Représentant officiel de l’association SOS Racisme qui professait une indépendance totale envers les partis politiques. Il n’hésita pourtant pas à trahir les siens et sa parole pour entrer, non sans énormément d’ambition au Parti Socialiste, après un passage au sein de Génération Ecologie. Il fut d’abord, et longtemps regardé avec distance, comme un renégat sans principes. Nous allions le retrouver largement blanchi sous le harnais à force de servir à toutes besognes. Harlem Désir avait des soucis de complexé. Avait-il aussi des ennuis d’argent ? En tous cas, il fut condamné en décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis pour emploi fictif. Tricheur, il touchait 8 900 francs par mois. Il aurait aussi bénéficié de François Mitterrand, qui n’en était pas à cela prêt dans l’utilisation de l’argent des français, d’une amnistie pour une dette de 80 000 francs à l’égard du Trésor Public. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault ayant été lui-même condamné à de la prison avec sursis, nous sommes surpris de voir Marie-Noelle Lienemann qui militait pour le contrôle de la probité des hommes politiques, déclarer la bouche en cœur : « Notre projet ne nuira pas à Harlem Désir. » Et pourquoi pas ? Les Français auraient-ils tellement changé depuis l’élection de François Hollande ? Ne seraient-ils plus attachés à certaines vertus comme l’honnêteté de la part de ceux qui les représentent à l’Assemblée Nationale ou au gouvernement ? Comment peut-on en France donner le pouvoir et notre respect à des hommes qui ont enfreint la loi en toute connaissance de cause ? A Toulouse, Jean-Philippe Désir fit la démonstration de son aptitude à rendre tous les services réclamés par ses maîtres : Martine Aubry, Jean-Marc Ayrault, etc. On lui dit d’aboyer, comme le faisait Ayrault à l’Assemblée. Il joue les bouledogues. On lui ordonne de mordre, après l’avoir défait de sa muselière, il s’exécute. Les insultes indignes de Jean-Philippe Désir passeront, mais les Français et les Françaises seront peut-être bientôt dans les rues, lassés par les manœuvres méprisantes pour la Démocratie d’un pouvoir majoritaire, grâce aux voix du Front National, sans aucun scrupule.