Henri Guaino accable Alain Juppé et François Fillon...
Pour sauver les « derniers espoirs » de son leader, Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, fidèle laquais pleurnicheur, est prêt à toutes les trahisons. Jean-Louis Debré, président du Conseil Constitutionnel, a sévèrement décrié l'intervention de Nicolas Sarkozy, suite à sa garde à vue, et à son intervention télévisée. La direction de l'UMP, assumée par Alain Juppé, François Fillon et Raffarin, fait face à une situation désastreuse laissée par Jean-François Copé, sinistre homme de main de Nicolas Sarkozy qui ridiculisa son parti en magouillant l'élection au poste de premier secrétaire, et dont l'honorabilité est à jamais compromise. Complice d'Henri Guaino, esclave de Sarkozy, Rachida Dati avide de ministères, produit des effets d'annonces. Nicolas Sarkozy doit prendre position, dire s'il se présente à la future présidentielle, s'écrie-t-elle. On sent le coup monté par les derniers partisans de Sarkozy... Henri Guaino, lui, n'hésite pas à mettre l'union et l'influence de l'UMP en péril, faisant le jeu du président Tartandouille, et de son compère Vals-Iznogoud. Comment peut-il se mettre dans un tel état de colère contre ses compagnons de combat ? Avec Rachida Dati, Henri Guaino aboie, il montre stupidement ses crocs. Il attaque injustement Alain Juppé et François Fillon dont les combats sont légitimes. Oui, tout doit être fait, pour empêcher le retour de Nicolas Sarkozy, responsable de l'élection du président Tartandouille. S'il est en désaccord, Henri Guaino doit démissionner de l'UMP, et, ne pas attendre lâchement d'en être chasser à coups de pieds aux fesses. Car sa traîtresse attitude ne mérite rien d'autre. Elle est catastrophique. Tartandouille et Vals-Iznogoud se tapent sur le bide devant tant de sottise. Plus de doute, la droite la plus bête du monde est sarkozyste. Elle est un déplorable exemple, alors que l'unité de l'UMP devrait être la seule réponse, alors que les Français souffrent sous les impôts, face à la déplorable gestion de la Nation, par les représentants du Parti Socialiste.