Hervé Mariton valet de chambre d'une République honnie par le peuple français...
Après plus de quatre années de République hollandoise, qui rime avec sournoise, les Français sont meurtris, et leurs espérances sont déchues. Ils ne croient plus en rien. Ils vivent au quotidien, sous la menace djihadiste installée en France par l'incompétence du pingouin bipolaire. La faillite règne. Les touristes désertent nos hôtels, et nos restaurants, à Paris, et partout dans le pays. Le chaos voit surgir des figures d'infamie, des lâches, des traîtres, des êtres sans devoir, ni parole, à l'exemple d'Hervé Mariton. Cet histrion féroce et bête a profité de l'absence de Nicolas Sarkozy à la tête de l'opposition pour se faire une sinistre réputation en répondant aux questions des journalistes vendus en mal de sales copies. Aux nombreux défauts que j'ai décrits, Hervé Mariton ajoute l'ingratitude abjecte. Il mord la main de son ex-maître, Nicolas Sarkozy. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy est revenu à la tête des Républicains. Il fait peur aux socialistes, car il est redevenu crédible, après les odieuses et impardonnables trahisons électorales de François Bayrou, et de Marine Le Pen. Avez-vous pensé que sans eux, François Hollande aurait été battu par Nicolas Sarkozy ? Une ignominie aussi répugnante, que le refus de Jacques Chirac de désigner son candidat, en 1981, permettant ainsi la victoire du vichyste éternel, François Mitterrand. Hervé Mariton admire Jacques Chirac. Je ne suis pas étonné. Hervé Mariton lèche tout ce qui peut lui servir comme marche-pied, dans sa quête de pouvoir. Hervé Mariton recherche des signatures pour participer aux primaires de la future présidentielle. Imprudent, il attaque Nicolas Sarkozy à la télévision. Comment peut-il injurier publiquement le président du parti auquel il prétend appartenir ? Si, Hervé Mariton était pourvu de la moindre fierté, il démissionnerait immédiatement. Mais, le gâteau est trop bon. Après sa victoire aux primaires, Nicolas Sarkozy devra le démettre. Heureusement pour la démocratie, Hervé Mariton est voué à la perte de tous ses mandats. Tant mieux !...Il prétend que sa candidature est nécessaire. Tout au contraire, elle est un blasphème permanent, contre ce qu'il reste d'honneur chez les hommes politiques français. Le tribun était la plus noble image du député ou du sénateur. Hervé Mariton, avec sa pitoyable chanson de fausset, déshonore cette tradition d'éloquence parlementaire. Par son attitude corrompue, Hervé Mariton fait le jeu de François Hollande et de ses épouvantables amis : Bernard Cazeneuve, Michel Sapin, Jean-Yves Le Drian et Manuel Valls. Et oui, hélas, notre pays est dirigé par quatre personnes, comme une épouvantable République bananière. Attendez la rentrée, elle promet de bien minables spectacles. Les planqués socialistes des ministères, pensant à leurs hypothétiques réélections comme députés, vont se désunir du dangereux bipolaire. La Droite ne doit pas inquiéter les électeurs, par des discours de désunion. Hervé Mariton, après avoir trop longtemps, et inutilement, occupé la scène doit retourner dans l'ombre. Il sera en bonne compagnie avec les plus célèbres blattes, et autres cafards, nourris de prébendes, et pourvoyeurs d'éternelles promesses...