Heureusement François de Rugy était en cage dans sa télévision
Il était tendu, François de Rugy. Comme une hampe de drapeau sans oriflamme. François de Rugy, il y a bien longtemps a vendu son âme. C'était le prix à payer pour porter le drapeau des écolos. Comment fait-il pour trouver du talent à Jean-Marc Ayrault ? Pour cautionner le sinistre bilan de François Hollande? Oui, comment? Il faut dire qu'il n'était pas aidé par la marchande choux. Elizabeth Martichoux, divorcée d'Aquillino Morelle, l'amateur de chaussures de luxe, qui distribuait les réprimandes et les coups de règles comme un censeur de la pire époque. Pas gentil ? Panpan cucul! Pas bien dans les clous ? La fessée! François de Rugy, vexé, était terrorisé, ridiculisé, comme le dernier de la classe ,obligé d'enfiler un bonnet d'âne. Tiens, je croyais qu'il était réservé à Benoît L'Anon, ce bonnet ? Pas facile pour un politicard de s'asseoir entre deux chaises, pour obtenir un strapontin gouvernemental. François de Rugy est un dangereux déséquilibriste. Pendant cette campagne des primaires, bien entendu, il ne convainc pas. Comment le pourrait-il quand on pense aux dames Cécile Duflot et Barbara Pompili? Quel pitoyable fiasco pour les écolos ! Ils n'ont plus que le démago Hulot. Cohn-Bendit s'est enfuit, Mamère a les glandes. Effrayant avenir pour ceux qui ne sont plus ni vert, ni rose, ni rouge…