Hollande Tartandouille déshonore la cérémonie du 14 juillet, et les poilus...
Partout où il passe, Hollande Tartandouille fait fuir les foules. Le jour du 14 juillet, il n'y avait personne, à part les militants que les socialistes avaient mobilisés pour un pseudo bain de foule. Tout est truquage pour Hollande Tartandouille. Rien n'est jamais vrai. Et, ces lunettes qui le font ressembler à l'un des pires politicards de l'Entre-deux-guerres, Jacques Doriot. Oui, Hollande Tartandouille, notoire fils de collabo, est un Jacques Doriot contemporain. Comment, a-t-il pu s'acheter des lunettes à 400€ ? Quel exemple pour les Français, auxquels on demande d'économiser dans ce domaine, pour ne pas assombrir le budget de la Sécurité Sociale déjà en triste état. Comme chaque année, Hollande Tartandouille fut hué sur les Champs-Elysées. Dès qu'il se trouve en public, le peuple s'enfuit devant cet histrion coupable. Tartandouille tente de récupérer les électeurs. Combien coûte à la France, tous les hommes de main qu'il soudoie au quotidien, pour monter ses traquenards infâmes ? Combien ? Quel est le nombre de sbires qui travaillent pour Hollande Tartandouille, à l'Elysée et ailleurs ? Combien ? Avec le premier sinistre, Vallsarsouille, Hollande a décidé de changer son image. Plus de sévérité. Plus de rigueur. Guignolade ! La crédibilité n'est pas au rendez-vous. Les Français et les Françaises souffrent devant l'impôt, devant la sempiternelle montée des prix, des produits de première nécessité, devant le blocage de leurs revenus. Aucune décision raisonnable n'est prise, comme une hausse signifiante du Smic. Notre dette augmente régulièrement. Le gouffre se creuse. Hollande Tartandouille se réjouit des difficultés de Sarkozy, de l'UMP, mais qu'en sera-t-il de cette fausse amitié entre Vallsiznogoud et lui, à l'approche des élections présidentielles de 2017 ? Comment pouvait-on penser que Pierre Gattaz, patron du Medef serait un jour le véritable premier ministre, d'une France en très grande souffrance ? Comment ? Non ! Les Français et les Françaises n'ont rien oublié. Ni, l'affaire Cacahuzac. Ni, les violentes hausses d'impôts. Ni, les reniements permanents de Tartandouille. Ni, la brutale répudiation de Valérie Trierweiler. Ni, la guerre au Mali et en Centrafrique. Ni, le mariage pour tous imposé brutalement. Ni, l'affaire Aquilino Morelle. Ni, les mensonges du traître Michel Sapin. Ni, la hausse infinie du chômage, malgré les magouilles de Tartandouille. Comment les syndicalistes peuvent-ils admettre cette politique du mépris des volontés populaires ? Comment ont-ils pu faire confiance à Vallsarsouille dans le conflit de la SNCM ? Notre France vit dans le déshonneur constant. Le manque de parole, le non respect des engagement sont désormais le fondement de la conscience, de l'Etat français. Français, Françaises, soyez vigilants !...