Hollande tartandouille, face à Bourdin, faux duel de menteurs…
Hollande tartandouille était plus cynique que jamais sur le plateau de BFMTV, répondant aux questions stéréotypées de Jean-Jacques Bourdin, le fourbe journaliste qui en fait toujours trop. Hollande tartandouille était venu pour en prendre plein la gueule. Il fut bien servi, mais pas surpris, car, tout était prévu d’avance. Vous viendrez, lui avait dit Bourdin. Vous en prendrez plein la tronche, mais, les Français attendent çà, souligna Jean-Jacques Bourdin, toujours à l’affût d’un supplément d’audience, pour ses patrons avides de pognon. La jalousie des autres journalistes de la presse aux ordres, faisait plaisir à voir. Ils étaient verts de rage. Fallait voir les gueules des brimés de LCI… Si on en croit Hollande tartandouille, il a raison dans toutes ses néfastes entreprises, soutenu par son grouillon de service, Manuel la pulpineuse valseuse. Hollande releva le col, qu’il a toujours en travers, comme les Français qui ne cessent d’acquitter les montants exorbitants de leurs nouveaux impôts. Hollande tartandouille, même embourdiné de frais, est toujours au plus bas, dans les sondages honnêtes. Sa prestation clownesque, de ce matin, ne lui sera guère utile, pour reconquérir la confiance des électeurs. S’il n’abaisse pas le nombre des chômeurs, il ne se représentera pas dit-il. Menteur ! Hollande toujours agressif, comme les plus faibles, les plus lâches, les plus magouilleurs, affirme, la gueule en cerise borgne : Je n’ai plus rien à perdre… Menteur, et triple menteur !... Ses singeries ne tromperont pas les électeurs. Ils aiment les personnages forts, pas les scrofuleux manipulateurs. Hollande a tout faux ! Sur le chômage, sur la croissance, sur le coût de la vie, sur le Smic, sur l’Europe, sur l’Allemagne, sur Aquilino Morelle, sur Cacahuzac, sur la guerre au Mali et dans la Centrafrique, sur la Syrie, sur l’Ukraine, dans l’affaire Alsthom, où il voudrait faire croire que nous pouvons échapper au rachat par Siemens (la meilleure des solutions, tout est déjà conclu avec Siemens. Comment tartandouille pourrait-il refuser cela à Merkel ?), etc. En ce jour sinistre, du second anniversaire de son élection à la présidence de la République, il pleut, et tartandouille donna une très vilaine image de la Démocratie socialiste. Rien du programme mis au point avec Valls, au service des grands patrons français, ne peut permettre à la France de retrouver une véritable croissance. Tartandouille ne connaît rien en économie. Sinon, comment imaginer qu’il soit victime du discours gattazien ? Nous ne sommes pas à l’abri de nombreux nouveaux couacs. Voulez-vous le dernier en date ? Montebourg n’est plus d’accord avec les propositions américaines, pour le rachat d’Alsthom. Vendredi soir, les Ricains toujours selon Pompe et Bourre, étaient géniaux. A moins, que vous ne préfériez, la plus hilarante, Valérie Trierweiler, la répudiée de la République, souhaite bonne chance à tartandouille, le jour de son anniversaire… Fut-elle récompensée pour ce coupable effort ?... Nous sommes dans le pire du pire…