Hollande tartandouille gouverne en aveugle…
Fabius, l’entortillonneur de mauvais coups, qui devra justifier de la provenance de l’appartement occupé à Paris, par son dispendieux fils, avait comparé Hollande tartandouille, pendant la campagne électorale, à une fraise des bois. Ce charmant fruit, nous apparaissait plutôt mignon. Comme 82 % des Français, nous avons appris à le haïr. Oui ! nous haïssons la fraise des bois, et, nous appelons à sa démission, en ce soir de fêtes. Le père Vandenbeusch est libre. Comme par hasard, cet événement intervient le jour, où, Hollande tartandouille doit prononcer ses vœux à la télévision. François Hollande tartandouille, vous prendrait-il pour des c… ? Jean-Marc Nigaud annonce 30 millions d’aide à la SNCM. Encore de l’argent emprunté. Avec quoi et quand rembourserons nous la dette ? Il faut cesser de dépenser. Comme par hasard, ce même jour… Français, Hollande tartandouille et Jean-Marc Nigaud, vous considèrent-ils comme des andouilles ? Ne leur donnez pas raison. Soyez vigilants !... De son côté, le pédant, Manuel Valls écume de rage contre Dieudonné. Pendant ce temps, deux types sont tués, à Marseille, révélant l’échec du système Valls. Dans son costume étriqué, ce vrai méchant qui transforme en prêt-à-porter, les costumes des meilleurs faiseurs, ne parviendra jamais à convaincre de sa compétence. C’est un politicard social-démocrate, arriviste et opportuniste, comme tous les membres de ce gouvernement, même les faux écolos, comme Placé et Duflot. L’image est trop absurde. On ne peut le croire. N’a t’on pas vu, Hollande l’entartandouillé, fustiger l’indéfendable Dieudonné, depuis l’Arabie Saoudite. Là-bas, on lui offrit un sabre. Tartandouille déclara : « j’en aurai bien besoin à mon retour en France… » Voici cet encornegidouille entartandouillé qui critique son pays la France, depuis un pays arabe. Je ne vous dis rien, sur le rire du bédoin, à propos de la couardise de Hollande tartandouille, le soir au fond casbah. L’infâme Front National va encore monter dans les sondages. Jamais président fut aussi nul. Jamais. Devant les caméras, pour les vœux, il fit le scénario des quotidiennes amphigouries qu'il mijote impitoyablement. Il était fébrile, tremblotant et incrédible. Bêlant, il lisait son prompteur, sans oser regarder les français dans les yeux. Le matin, Jean-Marc Nigaud dépensait 30 millions. Le soir, Tartandouille invoquait de futures économies. Le Guignol continue...